Parce que le conte peut faire reculer la mort, Bitna, étudiante coréenne sans un sou, invente des histoires pour Salomé, immobilisée par une maladie incurable.
La première lutte contre la pauvreté, la seconde contre la douleur. Ensemble, elles se sauvent dans des récits quotidiens ou fabuleux, et bientôt la frontière entre réalité et imaginaire disparaît.
Un roman qui souffle ses légendes urbaines sur la rivière Han, les boulevards saturés et les ruelles louches.
Sous le ciel de Séoul se lève « le vent de l’envie des fleurs »...
Revue de presse
- Le pouls de Séoul vibre ici admirablement (Marianne Payot, l’Express)
- Simplicité et délicatesse (Claire Devarrieux, Libération)
- Bitna est une œuvre protéiforme. Tantôt conte de fées, tantôt roman d’apprentissage ou promenade dans une cité du bout du monde (Christine Ferniot, LIRE)
- Les mots libérent d’un carcan quotidien, aidant à prolonger espérance et vitalité. Le lecteur est emporté par cette magie opérante, bienheureux d’avoir côtoyé ces personnages, oublieux de la distinction entre fiction et réalité (Betty Duval-Hubert, Pages des Libraires)