Bibliographie
- Necropolitains, (Critic, 2019)
- PariZ, (Critic, 2016)
Nécropolitains (Critic, 2019)
Jeune auteur de l’imaginaire avec tout juste deux romans à son actif, il insuffle un vent de fraîcheur sur le genre du post-apocalyptique avec des récits un peu fous et souvent tragi-comiques. Musicien, auteur-compositeur, réalisateur, chroniqueur, il se lance dans l’écriture d’un premier roman, PariZ, en 2016. Il nous revient avec un post-apo zombiesque dans le même univers. Inspiré de New York 1997 de John Carpenter et Millenium People de J. G. Ballard, il propose une critique de notre société actuelle qui, à l’approche de l’extinction, est encore capable des pires atrocités.
Bibliographie
Paris, un an après l’apocalypse zombie.
Depuis la base souterraine de Taverny, où vit reclus et impuissant ce qui reste de l’armée régulière, le capitaine Franck Masson est envoyé en mission diplomatique au cœur de la capitale pour établir le contact avec plusieurs poches de survivants. Dans une Ville lumière en lambeaux, investie par les morts-vivants et les bêtes sauvages, le soldat part en quête des derniers sursauts de l’humanité, de Dieu et de la France.
De buttes en îles, de parcs en souterrains, de chemins de fer en canaux, sa traversée lui apprendra par dessus tout que l’Homme, même après la fin du monde, demeure un spécimen bien difficile à cerner.
Revue de presse
Dans un Paris ravagé par l’apocalypse zombie, trois clochards tentent de survivre, tapis dans les souterrains d’une station de métro. La Goutte, vieillard alcoolique au dernier degré, a déjà un pied dans la tombe. La Gâchette, originaire du Mozambique, est un ex-enfant soldat. Quant à La Gobe, jeune teufeur frappé de débilité, il ne doit son salut qu’à Goa, son chien d’attaque et cerveau auxiliaire.
Dans les entrailles de la cité, ils rencontreront deux membres de la Restauration Française, en mission suicide pour un colonel putschiste qui a fait main basse sur l’Assemblée nationale. Si cette paire de nazillons s’imagine pouvoir sauver la ville lumière, les vagabonds poursuivent un objectif plus modeste : renflouer leur stock d’alcool.