DE L’ÉRUDITION COMME VOYAGE

Pour voyager loin, il est conseillé
de voyager léger – de s’alléger
soi-même, continûment dirait un
Nicolas Bouvier, jusqu’à l’éclat diamantin
de la pure sensation. Mais
nous écrivons – nous voyageons ?
– aussi dans le bruissement de tous
les livres, de toutes les langues. Et
de l’érudition, parfois, certains s’entendent
à faire de la lumière. C’est
le cas de deux écrivains que nous
aimons particulièrement : Mathias
Énard (Boussoles) et Jean-Paul
Kauffmann (Outre-Terre).
► Dim. 16h, ENSM 1