La littérature se doit-elle d’être politique ?

Ouverture par Atiq RAHIMI

Elle n’est jamais aussi vivante, la littérature, que lorsqu’elle s’attache à dire le monde. Mais est-elle politique, pour autant ? Longtemps et particulièrement dans les années 1960, elle aura été sommée d’être le porte-voix d’une cause. Nous savons mieux, aujourd’hui les pièges de l’engagement : la littérature peut mourir, d’être la servante des idéologies. Alors, politique, malgré tout ? Sans doute, mais d’une manière qui transcende les idéologies.

Ouverture par Atiq RAHIMI
Lire le texte d’ouverture : "Les mots en gage". (in english also).

Avec la participation au débat de : Jonas T. BENGTSSON, Bruce CLARKE, Lyonel TROUILLOT,
Patrick RAMBAUD, Boualem SANSAL, Sami TCHAK,
Azouz BEGAG, Clément CALIARI, Bernard CHAMBAZ,
Tobie NATHAN, Jérôme FERRARI, Dimitris STEFANAKIS,
Uwem AKPAN, Vassilis ALEXAKIS, Kenneth WHITE,
Kopano MATLWA, AYERDHAL