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Le voyage du Commodore Anson

Futuropolis

Un grand récit historique au souffle épique, magnifiquement raconté et mis en image par les auteurs de Martha Jane Cannary, d’après le récit de Richard Walter, chapelain de l’expédition, paru dès 1748.

En 1740, le Commodore Anson se voit confier une escadre de 8 navires par le Roi d’Angleterre George II dans le but de ruiner les colonies espagnoles de la côte ouest de l’Amérique latine, riches en or et en argent, puis de capturer le Galion royal en provenance de Manille chargé de trésors produits en Asie. Cette mission qui l’obligera à faire le tour du monde, en passant le cap Horn puis le cap de Bonne espérance, est semée d’embûches. Un départ retardé de six mois signifie le passage du Cap Horn dans les pires conditions climatiques. Le recrutement de 500 soldats s’avère difficile (L’Angleterre est en guerre et manque cruellement d’hommes) si bien qu’Anson embarque des vétérans, voire des blessés. Les cales remplies de vivres, de pacotille pour les négociations, empiètent sur le couchage des embarqués et deviennent vite insalubres, fièvres et scorbut déciment les équipages. Aléas de la navigation, longues escales pour le ravitaillement et les réparations des navires, le voyage s’étire dans le temps. Quatre ans s’écouleront avant le retour à Londres : un seul navire et 188 hommes sur les 2000 au départ.
Richement documenté, orné de gravures anciennes, ce récit de 265 pages qui, tout comme le périple d’Anson, a demandé quatre ans de travail, est rondement mené et le trait enlevé de Matthieu Blanchin fait merveille : îles accueillantes sont extrêmement vivantes sous le pinceau La nervosité du trait et les accords aquarellés animent tempêtes et scènes de batailles et rendent particulièrement vivants officiers et marins, frisant parfois la caricature. Un régal de lecture.

Le voyage du Commodore Anson

Le voyage du Commodore Anson

Futuropolis - 2021

Un grand récit historique au souffle épique, magnifiquement raconté et mis en image par les auteurs de Martha Jane Cannary, d’après le récit de Richard Walter, chapelain de l’expédition, paru dès 1748.

En 1740, le Commodore Anson se voit confier une escadre de 8 navires par le Roi d’Angleterre George II dans le but de ruiner les colonies espagnoles de la côte ouest de l’Amérique latine, riches en or et en argent, puis de capturer le Galion royal en provenance de Manille chargé de trésors produits en Asie. Cette mission qui l’obligera à faire le tour du monde, en passant le cap Horn puis le cap de Bonne espérance, est semée d’embûches. Un départ retardé de six mois signifie le passage du Cap Horn dans les pires conditions climatiques. Le recrutement de 500 soldats s’avère difficile (L’Angleterre est en guerre et manque cruellement d’hommes) si bien qu’Anson embarque des vétérans, voire des blessés. Les cales remplies de vivres, de pacotille pour les négociations, empiètent sur le couchage des embarqués et deviennent vite insalubres, fièvres et scorbut déciment les équipages. Aléas de la navigation, longues escales pour le ravitaillement et les réparations des navires, le voyage s’étire dans le temps. Quatre ans s’écouleront avant le retour à Londres : un seul navire et 188 hommes sur les 2000 au départ.
Richement documenté, orné de gravures anciennes, ce récit de 265 pages qui, tout comme le périple d’Anson, a demandé quatre ans de travail, est rondement mené et le trait enlevé de Matthieu Blanchin fait merveille : îles accueillantes sont extrêmement vivantes sous le pinceau La nervosité du trait et les accords aquarellés animent tempêtes et scènes de batailles et rendent particulièrement vivants officiers et marins, frisant parfois la caricature. Un régal de lecture.

Martha Jane Cannary T3 : les dernières années (1852-1903) La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane

Futuropolis - 2012

Martha Jane Cannary T3 : les dernières années (1852-1903) La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane Ayant perdu son emploi au Pony Express en 1877, Martha reprend une vie d’errance et de petits boulots (cuisinière dans des ranchs, infirmière, lingère...). Au fur et à mesure des rencontres, généralement bien arrosées, n’hésitant pas à jouer du poing ou du fusil, elle forge sa propre légende qui sera bientôt amplifiée par la parution d’un article d’Horacio Maguire sur les exploits de celle que l’on surnomme Calamity Jane. Femme libre, alcoolique, rebelle, volontaire, elle refuse de participer au cirque ambulant de Buffalo Bill, mais participera quelques années plus tard au Wild West Show. Elle entreprend l’écriture des lettres à sa fille en 1879, ce qui permettra des années plus tard au grand public de découvrir une Calamity Jane plus intime. C’est cependant une tout autre femme que nous font découvrir aujourd’hui les auteurs de Martha Jane Cannary...


Martha Jane Cannary (1852-1903) T2 : La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane

Futuropolis - 2009

Martha Jane Cannary (1852-1903) T2 : La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane Nous avions laissé Martha Jane Canary au printemps de 1869, après l’attaque des indiens à Goose Creek, là où le capitaine Egon la baptisa « Calamity Jane ». À la fin de l’hiver 1874, Martha Jane vit dans un ranch à la lisière des Badlands. Sa fille Janey, née en septembre 1873, a quelques semaines quand elles échouent ici. Martha Jane ne se montre pas vraiment une très bonne mère, laissant la femme du fermier s’occuper de sa fille tandis qu’elle s’occupe des travaux de la ferme. Elle finit par avouer qui est le père de l’enfant, le célèbre Wild Bill Hickok…


Martha Jane Cannary (1852-1903) T1 : La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane

Futuropolis - 2008

Martha Jane Cannary (1852-1903) T1 : La vie aventureuse de celle que l’on nommait Calamity Jane Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, elle est l’aînée d’une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l’Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite. Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails… mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom.