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Milwaukee Blues

Sabine Wespieser

Depuis qu’il a composé le nine one one, le gérant pakistanais de la supérette de Franklin Heights, un quartier au nord de Milwaukee, ne dort plus : ses cauchemars sont habités de visages noirs hurlant « Je ne peux plus respirer ». Jamais il n’aurait dû appeler le numéro d’urgence pour un billet de banque suspect. Mais il est trop tard, et les médias du monde entier ne cessent de lui rappeler la mort effroyable de son client de passage, étouffé par le genou d’un policier.

Le meurtre de George Floyd en mai 2020 a inspiré à Louis-Philippe Dalembert l’écriture de cet ample et bouleversant roman. Mais c’est la vie de son héros, une figure imaginaire prénommée Emmett – comme Emmett Till, un adolescent assassiné par des racistes du Sud en 1955 –, qu’il va mettre en scène, la vie d’un gamin des ghettos noirs que son talent pour le football américain promettait à un riche avenir.

La force de ce livre, c’est de brosser de façon poignante et tendre le portrait d’un homme ordinaire que sa mort terrifiante a sorti du lot. Avec la verve et l’humour qui lui sont coutumiers, l’écrivain nous le rend aimable et familier, tout en affirmant, par la voix de Ma Robinson, l’ex-gardienne de prison devenue pasteure, sa foi dans une humanité meilleure.

Milwaukee Blues

Milwaukee Blues

Sabine Wespieser - 2021

Depuis qu’il a composé le nine one one, le gérant pakistanais de la supérette de Franklin Heights, un quartier au nord de Milwaukee, ne dort plus : ses cauchemars sont habités de visages noirs hurlant « Je ne peux plus respirer ». Jamais il n’aurait dû appeler le numéro d’urgence pour un billet de banque suspect. Mais il est trop tard, et les médias du monde entier ne cessent de lui rappeler la mort effroyable de son client de passage, étouffé par le genou d’un policier.

Le meurtre de George Floyd en mai 2020 a inspiré à Louis-Philippe Dalembert l’écriture de cet ample et bouleversant roman. Mais c’est la vie de son héros, une figure imaginaire prénommée Emmett – comme Emmett Till, un adolescent assassiné par des racistes du Sud en 1955 –, qu’il va mettre en scène, la vie d’un gamin des ghettos noirs que son talent pour le football américain promettait à un riche avenir.

La force de ce livre, c’est de brosser de façon poignante et tendre le portrait d’un homme ordinaire que sa mort terrifiante a sorti du lot. Avec la verve et l’humour qui lui sont coutumiers, l’écrivain nous le rend aimable et familier, tout en affirmant, par la voix de Ma Robinson, l’ex-gardienne de prison devenue pasteure, sa foi dans une humanité meilleure.

Ces îles de plein sel : et autres poèmes

Ces îles de plein sel : et autres poèmes

Seuil Points - 2021

et un matin le verbe perdit les échos de la création

s’éparpillant dans des dédales de sable et de végétaux déchus

et un matin la parole se confondit avec le fracas des ténèbres

ce fut silence qui parla si fort

Sont réunis ici, pour la première fois, un ensemble de textes poétiques de Louis-Philippe Dalembert, publiés entre 1989 et 2010. L’Histoire, la Révolution haïtienne, le vagabondage, l’enfance, la mort en dessinent la toile de fond. Lire Louis-Philippe Dalembert,c’est tendre l’oreille au bruit du monde et être en phase avec la Parole. Le poète nous en traduit l’essence dans un style tour à tour lyrique, alerte et concis.

Né à Port-au-Prince, Louis-Philippe Dalembert publie depuis 1993, en France et en Haïti, des romans, des nouvelles, de la poésie et des essais. Ses romans Avant que les ombres s’effacent et Mur Méditerranée sont disponibles chez Points. Ces îles de plein sel et autres poèmes est une pièce primordiale pour comprendre l’œuvre de celui qui est devenu aujourd’hui l’une des voix majeures de la littérature d’expression française.


Cantique du balbutiement

Cantique du balbutiement

Bruno Doucey - 2020

« Un jour j’ai poussé les portes de l’aube… » Dès les premières pages de Cantique du balbutiement, le poète haïtien affirme, avec des mots de grand vent, qu’il est du pays de son enfance. Les bégaiements du petit jour et le profond de la nuit, la saison des cyclones, les veillées de prières et les prophéties, le corbillard qui passe en fin d’après-midi, « l’eau boueuse du quotidien » et la « migraine carabinée des questionnements », cette grand-mère opiniâtre qui a le don de rafistoler la vie… Louis-Philippe Dalembert n’en finit pas de dérouler le film haut en couleurs d’une enfance haïtienne. Mais en creux, sur la ligne d’ombre du partage, le poème fait entendre ce que les mots ne disent pas : le départ, la perte, l’absence –, cette « grande muette défiant le monde entier des choses ».


Mur méditérranée

Mur méditérranée

Sabine Wespieser - 2019

À Sabratha, sur la côte libyenne, les surveillants font irruption dans l’entrepôt des femmes. Parmi celles qu’ils rudoient, Chochana, une Nigériane, et Semhar, une Érythréenne. Les deux se sont rencontrées là après des mois d’errance sur les routes du continent. Depuis qu’elles ont quitté leur terre natale, elles travaillent à réunir la somme qui pourra satisfaire l’avidité des passeurs. Ce soir, elles embarquent enfin pour la traversée.
Un peu plus tôt, à Tripoli, des familles syriennes, habillées avec élégance, se sont installées dans des minibus climatisés. Quatre semaines déjà que Dima, son mari et leurs deux fillettes attendaient d’appareiller pour Lampedusa. Ce 16 juillet 2014, c’est le grand départ.
Ces femmes aux trajectoires si différentes – Dima la bourgeoise voyage sur le pont, Chochana et Semhar dans la cale – ont toutes trois franchi le point de non-retour et se retrouvent à bord du chalutier unies dans le même espoir d’une nouvelle vie en Europe.
Dans son village de la communauté juive ibo, Chochana se rêvait avocate avant que la sécheresse ne la contraigne à l’exode ; enrôlée, comme tous les jeunes Érythréens, pour un service national dont la durée dépend du bon vouloir du dictateur, Semhar a déserté ; quant à Dima, terrée dans les caves de sa ville d’Alep en guerre, elle a vite compris que la douceur et l’aisance de son existence passée étaient perdues à jamais.
Sur le rafiot de fortune, l’énergie et le tempérament des trois protagonistes – que l’écrivain campe avec humour et une manifeste empathie – leur seront un indispensable viatique au cours d’une navigation apocalyptique.
S’inspirant de la tragédie d’un bateau de clandestins sauvé par le pétrolier danois Torm Lotte pendant l’été 2014, Louis-Philippe Dalembert, à travers trois magnifiques portraits de femmes, nous confronte de manière frappante à l’humaine condition, dans une ample fresque de la migration et de l’exil.


Revue de presse

« L’écrivain haïtien décrit avec réalisme les trajectoires de femmes candidates à une vie meilleure en Europe. » La Croix

« S’inspirant de la tragédie d’un bateau de clandestins sauvé par le pétrolier danois Torm Lotte pendant l’été 2014, Louis-Philippe Dalembert, à travers trois magnifiques portraits de femmes, nous confronte de manière frappante à l’humaine condition, dans une ample fresque de la migration et de l’exil. » France Culture

« Dans son livre magistral, Louis-Philippe Dalembert raconte de manière poignante le drame des migrants qui se noient en Méditerranée. » Le Point


Avant que les ombres s'effacent

Avant que les ombres s’effacent

Sabine Wespieser - 2017

Dans le prologue de cette saga conduisant son protagoniste de la Pologne à Port-au-Prince, l’auteur rappelle le vote par l’État haïtien, en 1939, d’un décret-loi autorisant ses consulats à délivrer passeports et sauf-conduits à tous les Juifs qui en formuleraient la demande.
Avant son arrivée à Port-au-Prince à la faveur de ce décret, le docteur Ruben Schwarzberg fut de ceux dont le nazisme brisa la trajectoire. Devenu un médecin réputé et le patriarche de trois générations d’Haïtiens, il a tiré un trait sur son passé. Mais, quand Haïti est frappé par le séisme de janvier 2010 et que sa petite-cousine Deborah accourt d’Israël parmi les médecins du monde entier, il accepte de revenir sur son histoire.
Pendant toute une nuit, sous la véranda de sa maison dans les hauteurs de la capitale, le vieil homme déroule pour la jeune femme le récit des péripéties qui l’ont amené là. Au son lointain des tambours du vaudou, il raconte sa naissance à Łódź en 1913, son enfance et ses études à Berlin – où était désormais installé l’atelier de fourrure familial –, la nuit de pogrom du 9 novembre 1938 et l’intervention providentielle de l’ambassadeur d’Haïti. Son internement à Buchenwald ; son embarquement sur le Saint Louis, un navire affrété pour transporter vers Cuba un millier de demandeurs d’asile, mais refoulé vers l’Europe ; son séjour enchanteur dans le Paris de la fin des années trente, où il est recueilli par la poétesse haïtienne Ida Faubert, et, finalement, son départ vers sa nouvelle vie : le docteur Schwarzberg les relate sans pathos, avec le calme, la distance et le sens de la dérision qui lui permirent sans doute, dans la catastrophe, de saisir les mains tendues.
Avec cette fascinante évocation d’une destinée tragique dont le cours fut heureusement infléchi, Louis-Philippe Dalembert rend un hommage tendre et plein d’humour à sa terre natale, où nombre de victimes de l’histoire trouvèrent une seconde patrie.


Revue de presse

  • "Louis-Philippe Dalembert fait revivre l’histoire oubliée des Juifs sauvés pendant la guerre par l’État haïtien." (Livres Hebdo)

Ballade d'un amour inachevé

Ballade d’un amour inachevé

Mercure de France - 2013

“Longtemps après, lorsque les douleurs se seraient refermées, que les survivants raconteraient l’événement sans que l’émotion vînt leur nouer la gorge, certains jureraient avoir senti la veille une forte odeur de soufre dans l’atmosphère. D’autres diraient l’avoir humée depuis trois jours, sans toutefois y avoir prêté attention. Peut-être, allez savoir, l’odeur n’avait-elle existé que dans leur imagination, ou n’avait-elle pas été assez persistante pour qu’on s’en alarmât.
Avril 2009 : la terre tremble en Italie. Dans un village des Abruzzes, un couple mixte, Azaka et Mariagrazia, attend dans la joie l’arrivée de son premier bébé. Sous le regard réprobateur des uns, opposés à la présence des étrangers dans la région, et la curiosité bienveillante des autres.
Si les secousses tendent à exacerber les tensions, elles viennent rappeler à Azaka un épisode traumatisant de son enfance : un autre séisme, à l’autre bout du monde, pendant lequel il fut enseveli sous les décombres. L’histoire se répéterait-elle ? Où qu’il soit, doit-il redouter la colère de la Terre ? Des questions que pour l’heure il refuse de se poser : bientôt il sera père, le bonheur ne lui échappera pas…
Entre chronique au quotidien et commedia dell’arte, Ballade d’un amour inachevé revisite les séismes de L’Aquila et d’Haïti, auxquels l’auteur s’est retrouvé mêlé. Comme souvent chez Louis-Philippe Dalembert, l’humour et la force de vie dominent tout au long du roman.


Noires blessures

Mercure de France - 2011
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Mamad tente d’ouvrir les yeux, mais il n’y parvient pas. Ses paupières, gorgées de sel et de sang, refusent d’obéir à son cerveau. Autour de lui, les objets continuent de flotter dans le brouillard. Un goût d’hémoglobine traîne sur ses lèvres sèches et bouffies. En face de Mamad, le Blanc est méconnaissable. Il a les yeux injectés de sang. Une épaisse écume blanchâtre auréole les commissures de ses lèvres. Les veines de son cou tendues à se rompre. De grosses gouttes de sueur perlent sur son front, qu’il essuie du revers de sa manche retroussée, entre une calotte et une autre. Mamad n’a plus la force de crier. Du regard, il implore pitié. Mais le Blanc cogne, tel un forcené, tout en crachant ses injures.

Deux hommes s’affrontent quelque part dans la jungle africaine. Laurent Kala, le Blanc, pris de folie furieuse, est sur le point de tuer Mamad, son domestique noir... Comment les deux hommes en sont-ils arrivés là ?
Issu d’une famille nombreuse, Mamad n’a pas connu son père. Pour faire vivre la famille, sa mère vend des fripes sur les marchés. L’école est loin : chaque jour Mamad parcourt des kilomètres à pied, l’estomac vide. Cacher à ses camarades de classe sa situation précaire, maîtriser les nausées qui lui tordent l’estomac… tel est son combat quotidien. Grâce à son exceptionnelle mémoire, Mamad a peut-être une issue : décrocher une bourse, faire des études, trouver un emploi et mettre la famille à l’abri. S’il échoue, il lui restera la solution de tous les désespérés de la terre : fuir son pays vers un avenir meilleur.
Laurent Kala, Français expatrié, travaille pour une ONG. Il a grandi dans le XIVe arrondissement. Il a perdu son père alors qu’il avait dix ans, tué lors d’une manifestation de protestation contre l’assassinat de Martin Luther King. Son père était particulièrement attentif à la cause des Noirs, ce qui a toujours intrigué Laurent. Comment le fils de cet humaniste a-t-il bien pu se transformer en bête féroce et sanguinaire ?

A la fois grave et tendre, et non sans humour, le roman de Louis-Philippe Dalembert dresse des portraits émouvants d’hommes et de femmes accrochés à leur humanité, au milieu des relents de racisme et de colonialisme engendrés parfois par la présence à l’étranger d’expatriés français.


Le roman de Cuba

Le Rocher - 2009

Dans l’imaginaire occidental, Cuba reste cette terre de plaisir, où des plages de carte postale le disputent à la beauté insolente des femmes, où les meilleurs cigares du monde, s’accompagnent de la dégustation d’un rhum vieux. La sensualité n’est pas un vain mot. Les amateurs y verront là un avant-goût du paradis terrestre, que Christophe Colomb situe à quelques milles marins des côtes cubaines. D’autres y ajouteront les nombreux rythmes semés le long de son histoire : habanera, son, danzon, boléro, rumba, cha-cha-cha, mambo, salsa.

Les grosses américaines des années 1940 et 1950 qui continuent de rouler, le million de kilomètres au compteur, leur carcasse rutilante sur les routes cabossées de l’île charrient leur part de stéréotypes. Le cinéma hollywoodien aussi, avec des films comme Cuba de Richard Lester, Havana de Sydney Pollack ou The Lost City d’Andy Garcia. Même la révolution castriste, et ses cinquante ans de pouvoir absolu, aura contribué à façonner l’image d’un pays suspendu dans le temps. Les amoureux de Cuba savent que l’identité de l’île ne s’arrête pas à ces regards nostalgiques, ni à un régime à bout de souffle dont les slogans éculés cachent une réalité plus profonde.

De Colomb à Castro, Le Roman de Cuba nous plonge dans les méandres de cinq siècles d’histoire d’une terre mystérieuse et envoûtante.


Revue de Presse


Histoires d’amour impossibles… ou presque

Le Rocher - 2008

Histoires d’amour impossibles... ou presque esquisse des portraits d’hommes et de femmes qui se sont parfois aimés puis séparés. Parfois se sont frôlés sans jamais se toucher. Et qui traversent la vie avec, dans le regard, la mélancolie de cette rencontre manquée. Ces histoires disent aussi des amours interdites, que trahissent par moments des fantasmes... ou des désirs confondus avec la réalité. Toutes le font avec légèreté et humour, comme celle de L’homme qui attendait d’être aimé, ou encore ce Dialogue par-dessus l’Atlantique aux voix brouillées par les incompréhensions et les décalages horaires. Histoires impossibles, peut-être, mais aussi d’impossible amour. Dans ce jeu de dupes que le "presque" du titre atténue néanmoins, il reviendra au lecteur de trancher...


L’ile du bout des rêves

Le Rocher - 2003

Pour ne pas oublier

Vidéos : Poésie et rencontres
Avec : Velibor ČOLIĆ, Louis-Philippe DALEMBERT, Yvon LE MEN, FALMARÈS - Saint-Malo 2021

Animé par : Yvon LE MEN

Chronique des oubliés était le titre du second livre de Vélibor Colic, publié peu de temps après son arrivée en France. Le premier s’appelait Les Bosniaques, tout simplement. Et le second nous rappelait déjà à l’ordre. Ne pas oublier la Bosnie, ne pas oublier Haïti nous dit aussi Louis Philippe Dalembert dans son Cantique du balbutiement, des mots d’avant les mots, d’où naît le poème, de chacun, de tous parfois. Et dont l’alphabet commence par la lettre A, A comme assassin et A comme amour.
avec Louis Philippe Dalembert, Vélibor Colic, Falmarès et Yvon Le Men


D’un côté à l’autre

Cafés littéraires
Avec : Louis-Philippe DALEMBERT, Stéphanie COSTE - Saint-Malo 2021

Animé par : Maëtte CHANTREL


Entre deux mondes

Les cafés littéraires en vidéo
Nii Ayikwei PARKES, Fabienne KANOR, Louis-Philippe DALEMBERT et Patricia MELO - Saint-Malo 2014

Nii Ayikwei PARKES, Fabienne KANOR, Louis-Philippe DALEMBERT et Patricia MELO
Animé par Maette Chantrel


Boulevard du crime

Les cafés littéraires en vidéo
Saint-Malo 2011

Avec François Arango, Stanley Péan, Nick Stone et Dominique Sylvain

Une vidéo réalisée par Cap7Média.


Des mots pour le dire

Les cafés littéraires en vidéo
Saint-Malo 2011

Avec Marie-Célie Agnant, Louis-Philippe Dalembert, Sami Tchak et Roma Tearne

Une vidéo réalisée par Cap7Média.


L’esprit des lieux

Les cafés littéraires en vidéo
Avec Louis-Philippe DALEMBERT, Lieve JORIS, Jean ROLIN, Jean-Paul KAUFFMANN - Saint-Malo 2009

Haïti vue d’ailleurs

Revivre le festival : Cafés littéraires
Avec : DALEMBERT Louis-Philippe, SMARTT BELL Madison, STONE Robert, TRILLARD Marc - Saint-Malo 2004

Quand le monde habitait Paris

Avec Michael Goebel, Pascal Blanchard, Louis-Philippe Dalembert, Olivier Weber - Saint-Malo 2017

Avec Michael Goebel, Pascal Blanchard, Louis-Philippe Dalembert, Olivier Weber
Animé par Eduardo Castillo


Haïti Plurielle

Avec Louis-Philippe Dalembert, Guy-Junior Régis, Makenzy Orcel, Coutechève Lavoie Aupont - Saint-Malo 2017

Avec Louis-Philippe Dalembert, Guy-Junior Régis, Makenzy Orcel, Coutechève Lavoie Aupont

Animé par Yves Chemla


Haïti : regards croisés

Saint-Malo 2014

Avec Yahia Belaskri, Yvon Le Men, Dominique Batraville et Louis-Philippe Dalembert.


Histoires d’amour

Saint-Malo 2014

Avec Louis-Philippe Dalembert et Julien Delmaire.


Huis clos

Saint-Malo 2011

Avec Mari-Célie AGNANT, Louis-Philippe DALEMBERT, Kossi EFOUI , Marvin VICTOR, animé par Karine PAPILLAUD


Etonnants Voyageurs, rendez-vous en Haïti ?

Saint-Malo 2011

En nous quittant dans Port-au-Prince en ruines, nous nous étions jurés, avec Lyonel Trouillot et Dany Laferrière de remonter dès que possible le festival que le tremblement de terre venait de mettre bas. Et d’abord à Saint-Malo, au printemps dernier. Puis à Port-au-Prince, de nouveau. Le choléra, les troubles politiques, nous auront contraints à différer notre projet. Mais sûrement pas à y renoncer ! Parce que la culture, plus que jamais, est un enjeu majeur de la reconstruction. Comme en témoigneront les acteurs rassemblés, tous engagés dans ce combat.

Avec Lyonel TROUILLOT, Jean-Euphèle MILCE, Emmelie PROPHETE, Evelyne TROUILLOT, Louis-Philippe DALEMBERT, Dany LAFERRIERE, Yanick LAHENS, Michel LE BRIS

Animé par Christelle CAPO-CHICHI


D’une île à l’autre, du Nord au Sud

Saint-Malo 2011

Avec : Louis-Philippe DALEMBERT, Eugène NICOLE , Anthony PHELPS, Alexis GLOAGUEN , animé par Yvon Le Men


Comment en sont-ils arrivés là ?

Saint-Malo 2011

avec : Anne VALLAEYS, Louis-Philippe DALEMBERT, Evelyne TROUILLOT, MOUCHARD Christel
animé par : Emmanuelle Dancourt


Une pensée en mouvement, migration et littérature

Saint-Malo 2010
Avec Louis-Philippe DALEMBERT, Wilfried N’SONDE, Nam LE, Mahi BINEBINE, Albert MEMMI. Un débat animé par Hubert Artus.

Quand les écrivains submergent les journalistes

Saint-Malo 2010

Avec Lyonel Trouillot, Dany Laferrière, Louis-Philippe Dalembert, Emmelie Prophète, Kettly Mars. Un débat animé par Thierry Leclere.

Quand les écrivains submergent les journalistes

Haïti, un peuple de poètes

Haïti, un peuple de poètes

Saint-Malo 2010

Son à venir.


Pays rêvés

Saint-Malo 2009
Lundi : 15h15 - Pays rêvés
avec Louis-Philippe Dalembert ; Lieve Joris, Jean-Claude Carrière et Didier Decoin