Au cœur d’espaces naturels tantôt hostiles, âpres, ou dont la démesure et le dérèglement peuvent être accablants, se débattent des hommes, des femmes et des enfants que la violence n’épargne pas. Nous étions des loups, de Sandrine Collette, L’enfant rivière d’Isabelle Amonou et Darwyne de Colin Niel plongent au cœur des brutalités qui, à l’œuvre dans les mondes humains, se trouvent en miroir dans les agonies théâtrales des montagnes, des fleuves et des forêts.