JEUNET Bernard

Les poèmes de Gérard Le Gouic, sous formes de courtes fables, rappellent le talent de Prévert, Cadou ou Maurice Carême. Les tableaux en relief, adorables saynètes poétiques, ont subi un traitment photographique d’exception afin de rendre toutes les nuances et les ombres. Connaissez-vous l’art délicat des papiers sculptés. Sur un tout petit espace, dans une boite d’allumette par exemple, l’artiste construit un monde minuscule aussi délicat qu’impressionnant. La finesse de chaque détail est époustouflant. La vie en vient à habiter chaque personnage, chaque sujet, un univers se crée. Un joli monde hors du temps.

« À Poubelle-Plage, quand les vagues font rage, elles ramènent sur le rivage, des tas de trucs qui nagent, mais pas de coquillages, dommage ! » Un triste constat que cette balade, celui de la pollution ordinaire qui gagne peu à peu du terrain dans la plus grande indifférence.

Les plus belles chansons de toujours. Il était un petit homme ; Gentil coquelicot ; Cadet Rousselle ; Ah ! mon beau château ; Il pleut bergère ; Mon âne, mon âne ; Vive le vent ; Sur le pont du Nord ; Auprès de ma blonde ; Trois jeunes tambours ; Le bon roi Dagobert ; A la volette ; Compère Guilleri ; En passant par la Lorraine ; Mon beau sapin ; Il était une bergère ; A la claire fontaine ; C’est la mère Michel ; Elle descend de la montagne ; Au marche du palais.

En échange d’une enveloppe, Élie est confié par ses parents à monsieur et madame François. Là-bas, à la ferme, tout est différent. Personne ne l’embrasse le soir en le couchant, la couverture pique, et surtout, Élie doit retenir une drôle de leçon : « À partir de maintenant tu t’appelles Émile, et monsieur et madame François seront ton oncle et ta tante ».

Da heul Eog e reomp anaoudegezh gant buhez an eoged, anezho pesked mor ha pesked dour dous. Ul levr savet gant krouer ar gevredigezh « Dour ha stêrioù Breizh ».