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Frankenstein à Bagdad

Piranha

Conte aussi fantasmagorique que réaliste situé dans l’Irak de l’après Saddam Hussein, Frankenstein à Bagdad a reçu le Prix international du roman arabe 2014.

Dans le quartier de Batawin, à Bagdad, en ce printemps 2005, Hadi le chiffonnier récupère les fragments de corps abandonnés sur les lieux des attentats qui secouent la ville pour les coudre ensemble. Plus tard, il raconte à qui veut bien lui payer un verre qu’une âme errante a donné vie à cette mystérieuse créature, qui écume désormais les rues pour venger les innocents dont elle est constituée. À travers les pérégrinations sanglantes du Sans-Nom, Ahmed Saadawi se joue des frontières entre la réalité la plus sordide et le conte fantastique, entre superstitions magiques et croyances religieuses pour dresser le portrait d’une ville où tout le monde a peur de l’inconnu.

Traduit de l’arabe (Irak) par France Meyer


Revue de presse

« Ahmed Saadawi, figure phare des lettres irakiennes, qui a choisi de rester vivre au pays malgré la guerre. Dans Frankenstein à Bagdad, lauréat du prix international du roman arabe, il convoque la figure créée par Mary Shelley pour mieux décrire la réalité sanglante de la capitale irakienne. »
Julien Bisson, Lire

« Le roman étaye à la perfection la théorie d’Ahmed Saadawi qui pense que la fiction est plus apte que le journalisme à transmettre pleinement l’expérience émotionnelle que représente la vie dans une ville où les niveaux de violence extraordinaires sont devenus ordinaires. »
Tim Arango, The New York Times

« Ahmed Saadawi soutient avec beaucoup de pertinence que la littérature illustre mieux que le reportage la cruauté du sort fait au peuple irakien. Morts, comptez-vous ! »
Éric Dussert, La Quinzaine Littéraire

« Ahmed Saadawi construit une sorte de pendant oriental au réalisme magique de Gabriel Garcia Márquez, qu’il admire : les moyens de la fiction sont sollicités pour rendre compte d’une réalité qui échappe à la raison. »
Élise Wajeman, Mediapart

Frankenstein à Bagdad

Frankenstein à Bagdad

Piranha - 2016

Conte aussi fantasmagorique que réaliste situé dans l’Irak de l’après Saddam Hussein, Frankenstein à Bagdad a reçu le Prix international du roman arabe 2014.

Dans le quartier de Batawin, à Bagdad, en ce printemps 2005, Hadi le chiffonnier récupère les fragments de corps abandonnés sur les lieux des attentats qui secouent la ville pour les coudre ensemble. Plus tard, il raconte à qui veut bien lui payer un verre qu’une âme errante a donné vie à cette mystérieuse créature, qui écume désormais les rues pour venger les innocents dont elle est constituée. À travers les pérégrinations sanglantes du Sans-Nom, Ahmed Saadawi se joue des frontières entre la réalité la plus sordide et le conte fantastique, entre superstitions magiques et croyances religieuses pour dresser le portrait d’une ville où tout le monde a peur de l’inconnu.

Traduit de l’arabe (Irak) par France Meyer


Revue de presse

« Ahmed Saadawi, figure phare des lettres irakiennes, qui a choisi de rester vivre au pays malgré la guerre. Dans Frankenstein à Bagdad, lauréat du prix international du roman arabe, il convoque la figure créée par Mary Shelley pour mieux décrire la réalité sanglante de la capitale irakienne. »
Julien Bisson, Lire

« Le roman étaye à la perfection la théorie d’Ahmed Saadawi qui pense que la fiction est plus apte que le journalisme à transmettre pleinement l’expérience émotionnelle que représente la vie dans une ville où les niveaux de violence extraordinaires sont devenus ordinaires. »
Tim Arango, The New York Times

« Ahmed Saadawi soutient avec beaucoup de pertinence que la littérature illustre mieux que le reportage la cruauté du sort fait au peuple irakien. Morts, comptez-vous ! »
Éric Dussert, La Quinzaine Littéraire

« Ahmed Saadawi construit une sorte de pendant oriental au réalisme magique de Gabriel Garcia Márquez, qu’il admire : les moyens de la fiction sont sollicités pour rendre compte d’une réalité qui échappe à la raison. »
Élise Wajeman, Mediapart