Défier les lois de la physique avec Ant-Man, et celles de l’anatomie avec Godzilla. S’aventurer aux abords d’un trou noir… et y plonger avec Interstellar. Communiquer avec les aliens comme dans Premier Contact. Se retrouver seul sur Mars et tenter d’y survivre. Étudier Prometheus et s’interroger sur l’origine et l’évolution des espèces extraterrestres… Ici, Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA, et Jean-Sébastien Steyer, paléontologue au Muséum national d’histoire naturelle de Paris et au CNRS, ne cherchent pas à démolir le septième art et son rapport à la science, mais bien à enrichir le regard du lecteur en traitant du contenu scientifique d’une quinzaine de films. Plus que le résultat, c’est la démarche qui importe : mobiliser ses connaissances, s’informer, faire preuve d’esprit critique, développer sa capacité d’analyse, goûter au plaisir de la découverte. Et, surtout, faire de la science en s’amusant !
- « Les deux scientifiques parviennent à interagir avec les lecteurs, ils restent toujours abordables, même si les articles peuvent être plus ou moins ardus pour peu que l’on aborde la mécanique quantique ou la relativité. La science fait son cinéma permet au lecteur d’en sortir grandi. Quelle que soit son instruction, il apprendra des notions qui régissent son existence, sans qu’il en prenne forcément conscience. » Yozone
- « La science fait son cinéma est donc une lecture très plaisante qui part d’une excellente idée, aborder la science par le biais des films de science-fiction. On apprend beaucoup de choses et sur de nombreux domaines de la science. Objectif atteint pleinement pour ma part ! » Au Pays des Cave Trolls
- « Mission accomplie donc pour ce premier essai de la collection « Parallaxe » qui, sous un air léger, nous fait faire de la science, de la vraie. Nul doute que la lecture de La science fait son cinéma vous fera jeter un œil désormais plus éclairé sur ces films qui tordent régulièrement le cou des lois de la physique ou sacrifient le réalisme sur l’autel du divertissement. Mais peu importe au fond, les auteurs (…) « ne cherchent pas à démolir le septième art » (dixit la quatrième de couverture) mais à faire de la science en s’amusant, et le but est ici parfaitement atteint ! » Lorhkan et les mauvais genre