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Anaïs s’en va t’en guerre

Éditions des Équateurs

Anaïs est née dans une famille pas comme les autres : entre une mère s’occupant de la mécanique et un père préférant repasser le linge. De son enfance, elle a conservé l’odeur du troène au printemps, le divorce des parents, le potager de son « pépé », le « chemin du blé en herbe », la plage des Dunes du Port.

À 18 ans, elle part en Inde, seule, puise en elle un courage qu’elle ne soupçonnait pas et découvre le caractère sacré de la nature. Elle. De ce premier voyage initiatique et décisif, elle tire une force pour toujours et voit naître son rêve : « cultiver son jardin ». Comme si l’errance avait provoquée chez elle le besoin de s’enraciner pour continuer à avancer.
Anaïs se met en quête d’un lopin de terre. En Bretagne évidemment ! La route est semée d’embûches, mais ni l’administration, ni la misogynie du milieu agricole, ni les caprices du ciel ne lui font peur. En accord avec ses convictions profondes, elle réalise son rêve : elle sème, cultive et invente des tisanes, telle une sorcière des temps modernes !

Anaïs apprend le travail de la terre, la solitude, les noms enchanteurs des herbes ; l’aubépine, l’hysope, la guimauve, la marjolaine, la sauge, le souci, l’agastache, le serpolet et la reine-des-prés, elle lit Thoreau et s’interroge sur la valeur du travail, de l’argent, de la liberté, sur le lien de l’homme à la nature, sur la beauté des gouttes de rosée sur les feuilles le matin…

Ce livre est un hymne à rêver et à aller jusqu’au bout de ses rêves, un petit guide de survie alternatif et stimulant dans un monde qui va trop vite, une réflexion sur l’écoféminisme et une célébration de la nature.

Anaïs s'en va t'en guerre

Anaïs s’en va t’en guerre

Éditions des Équateurs - 2020

Anaïs est née dans une famille pas comme les autres : entre une mère s’occupant de la mécanique et un père préférant repasser le linge. De son enfance, elle a conservé l’odeur du troène au printemps, le divorce des parents, le potager de son « pépé », le « chemin du blé en herbe », la plage des Dunes du Port.

À 18 ans, elle part en Inde, seule, puise en elle un courage qu’elle ne soupçonnait pas et découvre le caractère sacré de la nature. Elle. De ce premier voyage initiatique et décisif, elle tire une force pour toujours et voit naître son rêve : « cultiver son jardin ». Comme si l’errance avait provoquée chez elle le besoin de s’enraciner pour continuer à avancer.
Anaïs se met en quête d’un lopin de terre. En Bretagne évidemment ! La route est semée d’embûches, mais ni l’administration, ni la misogynie du milieu agricole, ni les caprices du ciel ne lui font peur. En accord avec ses convictions profondes, elle réalise son rêve : elle sème, cultive et invente des tisanes, telle une sorcière des temps modernes !

Anaïs apprend le travail de la terre, la solitude, les noms enchanteurs des herbes ; l’aubépine, l’hysope, la guimauve, la marjolaine, la sauge, le souci, l’agastache, le serpolet et la reine-des-prés, elle lit Thoreau et s’interroge sur la valeur du travail, de l’argent, de la liberté, sur le lien de l’homme à la nature, sur la beauté des gouttes de rosée sur les feuilles le matin…

Ce livre est un hymne à rêver et à aller jusqu’au bout de ses rêves, un petit guide de survie alternatif et stimulant dans un monde qui va trop vite, une réflexion sur l’écoféminisme et une célébration de la nature.