Ce pourrait être le monde de demain. Paris est envahi par une obscurité perpétuelle et livré aux instincts redevenus primaires d’une population désormais
organisée en clans. Dans ce monde urbain terriblement violent, Féral est un des derniers à avoir des souvenirs des temps anciens. Il est aussi un as de la « cogne »,
ces combats à mains nues qui opposent les plus forts des clans dans des sortes de grand-messes expiatoires. C’est lors d’une de ces cognes qu’il rencontre
Livie, qui respire la liberté, l’intelligence, la force. Leur amour est immédiat, charnel, entier. Mais le destin de Féral va se fracasser sur cette jeune femme qui n’est pas libre d’aimer.
Bijou littéraire, Un peu de nuit en plein jour parle de notre monde qui s’abîme, de la part de sauvagerie en l’homme, de l’inéluctabilité des destins.
"Il ne reste plus que ça aujourd’hui, la communion des caves, cette sauvagerie qui seule subsiste une fois quittée la grisaille de la surface où les clans survivent dans des boulots plus pourris qu’une charogne oubliée sur un piège."
Revue de presse
- « Un très beau texte, sensible, poétique. » Librairie Decitre, Levallois-Perret
- « C’est un roman subtile et magnétique, un écrin de tendresse soudainement ouvert à nos yeux puis aussitôt refermé pour nous laisser le plaisir de l’imagination. » The Unamed Bookshelf
- « Erik L’Homme signe un roman court, mais dense par le récit, et par les mots qui empoignent le lecteur, n’offrent répit que lorsque se tourne la dernière page. » HubrisLibris