Raconter Shanghai de 1930 jusqu’à l’Exposition Universelle, telle est l’ambition de Jia Zhang Ke au travers de dix-huit portraits d’hommes et de femmes qui raconteront aussi bien leurs histoires que celles de la Chine et du cinéma national. Une fresque d’ampleur qui convoque le documentaire et la fiction pour un regard sans complaisance sur la future première puissance mondiale.
La bande annonce du film I wish I knew : histoires de Shanghaï
Revue de presse :
- « Le chantier entrepris par Jia Zhang-ke avec son documentaire "I Wish I Knew" est à la fois immense et totalement nouveau, à l’échelle de son oeuvre et du cinéma chinois d’aujourd’hui. » (Les Cahiers du Cinéma)
- « Si Jia Zhang-ke s’était contenté (...) de faire parler sa petite vingtaine d’interlocuteurs, la pertinence de sa sélection (...) suffirait à en faire un historien de premier rang. Mais il est avant tout cinéaste, et "I Wish I Knew" est bien plus qu’un simple alignement de témoignages. » (Le Monde)
- « La belle idée est de compléter ces récits, souvent bouleversants, par les grandes évocations de Shanghai au cinéma. Ce mouvement d’allers-retours entre le documentaire et la fiction est particulièrement réussi (...). D’où vient alors la petite déception ressentie à la découverte de ces "Histoires de Shanghai" ? Paradoxalement, de leur abondance (...). » (Télérama)
