IKOR Olivier

Caravelles : Le siècle d’or des navigateurs portugais, découvreurs des sept parties du monde (Lattès 2010)

Biographie


Olivier Ikor, romancier, écrivain, ancien journaliste et voyageur repenti vit au Portugal depuis une douzaine d’années, à Lisbonne plus précisémment, "la plus belle ville pour écrire", dit-il.
Ce port, ouvert à tous les voyages et à toutes les aventures que lui vient l’inspiration de son roman historique Caravelles (Lattès 2010) et de son troisième roman, Le Dragon des quatre océans dans lequel il reconstitue un épisode célèbre en Chine et mal connu ailleurs, de l’histoire des Ming.
Dans son troisième roman, L’aquarium(Lattès 2000) Olivier Ikor reprend et corrige sa thématique de l’épopée vagabonde esquissée dans L’Archipel des illusions, et dans La Balade du loup-cervier.


Bibliographie :

  • Caravelles : Le siècle d’or des navigateurs portugais, découvreurs des sept parties du monde (Lattès 2010)
  • Le Dragon des quatre océans (Lattès 2004)
  • L’aquarium(Lattès 2000)
  • La balade du loup-cervier( Laffont 1993)
  • L’archipel des illusions( Laffont, 1990)

Présentation de Caravelles : Le siècle d’or des navigateurs portugais, découvreurs des sept parties du monde

Les caravelles... Des coquilles de noix. Pourtant, c’est à leur bord que, pendant un siècle et demi, tandis que le reste de l’Europe se déchirait entre guerre de Cent ans et guerres de religion, les marins portugais, aussi audacieux qu’obstinés, longèrent le littoral africaine, doublèrent le cap de Bonne-Espérance, abordèrent les côtes brésiliennes, s’imposèrent à Calicut sur le grand marché mondial des épices. Ils auraient pu s’arrêter là, et rentrer chez eux, fortune faite... Mais non ! Les caravelles poursuivirent leur chemin vers le Japon, la Chine, Macao. Un jour, pourtant, la grande épopée des caravelles partira en fumée sur les bûchers de l’Inquisition. Aujourd’hui encore, les Portugais gardent la joyeuse et fière nostalgie, la saudade, d’avoir été les découvreurs et les maîtres des océans. Malgré toutes les tourmentes que l’Histoire lui a fait subir, le Portugal ne fut jamais un " petit pays ". Olivier Ikor a donné la parole, mais aussi chair et âme, aux acteurs des Grandes Découvertes, qu’ils soient prince du sang ou proscrit, capitaine ou moussaillon, chrétien, juif ou musulman, marchand ou scientifique. Chacune de ces navigations qui bouleversèrent le monde se lit comme un roman, ou plutôt comme mille et une ébauches de mille et un romans.

Caravelles : Le siècle d’or des navigateurs portugais, découvreurs des sept parties du monde

Jean-Claude Lattès - 2010

Les caravelles... Des coquilles de noix. Pourtant, c’est à leur bord que, pendant un siècle et demi, tandis que le reste de l’Europe se déchirait entre guerre de Cent ans et guerres de religion, les marins portugais, aussi audacieux qu’obstinés, longèrent le littoral africaine, doublèrent le cap de Bonne-Espérance, abordèrent les côtes brésiliennes, s’imposèrent à Calicut sur le grand marché mondial des épices. Ils auraient pu s’arrêter là, et rentrer chez eux, fortune faite... Mais non ! Les caravelles poursuivirent leur chemin vers le Japon, la Chine, Macao. Un jour, pourtant, la grande épopée des caravelles partira en fumée sur les bûchers de l’Inquisition. Aujourd’hui encore, les Portugais gardent la joyeuse et fière nostalgie, la saudade, d’avoir été les découvreurs et les maîtres des océans. Malgré toutes les tourmentes que l’Histoire lui a fait subir, le Portugal ne fut jamais un " petit pays ". Olivier Ikor a donné la parole, mais aussi chair et âme, aux acteurs des Grandes Découvertes, qu’ils soient prince du sang ou proscrit, capitaine ou moussaillon, chrétien, juif ou musulman, marchand ou scientifique. Chacune de ces navigations qui bouleversèrent le monde se lit comme un roman, ou plutôt comme mille et une ébauches de mille et un romans.