ANQUETIL Jacques

France

Les maîtres de la lumière (Presse de la renaissance, 2007)

Jacques ANQUETIL

Jacques Anquetil vit à Paris mais a voyagé dans plus de 130 pays. Ce contact direct avec les artisans de différentes cultures a fait de lui un historien du textile reconnu. Il est notamment l’auteur de Mémoires d’un tisserand (NIL, 1996) et de la série chez Lattès, Les routes de la soie (1992), Les routes du coton (1999) et Les routes de la laine (2001). Il nous livre ici la passionnante biographie du premier orientaliste français, parti en Inde à vingt-quatre ans pour rapporter en France et le traduire le Zend-Avesta, livre sacré de la religion zoroastrienne fondée par le fameux Zarathoustra.

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Bibliographie :

  • Les maîtres de la lumière (Presse de la renaissance, 2007)
  • Anquetil-Duperron, premier orientaliste français (Presse de la renaissance, 2005)
  • Le grand livre du tapis (Hachette, 2005)
  • Amériques : les mains du monde (Solar, 2005)
  • Afrique : les mains du monde (Solar, 2004)
  • Les routes de la laine (Lattès, 2001)
  • Les routes du coton (Lattès, 1999)
  • Le grand guide de l’art (Hachette, 1998 - avec Valérie Chêne)
  • Mémoires d’un tisserand (Nil éditions, 1997)
  • Les routes de la soie (Lattès, 1992)

Argumentaire des Maîtres de la lumière :

Jacques Angot, maître verrier initié par son père, exerce son métier à Rouen, en 1850. Il envisage son art comme le moyen d’accéder à la lumière divine : pour lui, les vitraux auraient une âme. Avant-gardiste, il cherche à capter cette lumière fugitive en créant des vitraux colorés mais non figuratifs.

Son entreprise est encouragée par son père ainsi que par son ami Flaubert. En vue de la restauration de l’abbatiale du Mont-Saint-Michel, l’architecte lui commande un projet de vitraux.

« Je fermai les yeux afin d’imaginer […] ce que pourraient apporter mes verrières dans ce lieu encore plus magique. Dans ma vision intérieure, le résultat me sembla éblouissant. Mais est-ce que finalement j’arriverais un jour à concrétiser ce rêve avant de mourir ? »

Son projet révolutionnaire est pourtant rejeté, jugé trop audacieux.
À la mort de ses proches, famille et amis, Jacques s’éloigne de sa foi jusqu’à ce que lui soit confiée la création des verrières d’une abbaye romane située près de Rouen par un abbé bénédictin. Soutenu par Claude Monet, avec qui il partage cette quête de lumière, il réalise alors son rêve et revient vers Dieu.
Il ne laissera jamais sa trace au Mont-Saint-Michel mais c’est dans ce lieu fascinant que Jacques Angot finit ses jours, emporté par la maladie de sa profession, le saturnisme.

« Avec ma dernière création, la grande rosace de Saint-Ouen, il me semblait avoir accompli la mission demandée : faire entrer un peu de paradis sur terre, témoigner de ce monde invisible entrevu quelques instants. »

Dans ce roman, Jacques Anquetil nous fait découvrir, au fil des voyages du héros dans la Normandie du XIXe siècle, ce métier fascinant des « maîtres de la lumière », aujourd’hui presque perdu.


Résumé de Anquetil-Duperron, premier orientaliste français :

Jacques Angot, maître verrier initié par son père, exerce son métier à Rouen, en 1850. Il envisage son art comme le moyen d’accéder à la lumière divine : pour lui, les vitraux auraient une âme. Avant-gardiste, il cherche à capter cette lumière fugitive en créant des vitraux colorés mais non figuratifs.
Son entreprise est encouragée par son père ainsi que par son ami Flaubert. En vue de la restauration de l’abbatiale du Mont-Saint-Michel, l’architecte lui commande un projet de vitraux.

« Je fermai les yeux afin d’imaginer [...] ce que pourraient apporter mes verrières dans ce lieu encore plus magique. Dans ma vision intérieure, le résultat me sembla éblouissant. Mais est-ce que finalement j’arriverais un jour à concrétiser ce rêve avant de mourir ? »

Son projet révolutionnaire est pourtant rejeté, jugé trop audacieux.
À la mort de ses proches, famille et amis, Jacques s’éloigne de sa foi jusqu’à ce que lui soit confiée la création des verrières d’une abbaye romane située près de Rouen par un abbé bénédictin. Soutenu par Claude Monet, avec qui il partage cette quête de lumière, il réalise alors son rêve et revient vers Dieu.
Il ne laissera jamais sa trace au Mont-Saint-Michel mais c’est dans ce lieu fascinant que Jacques Angot finit ses jours, emporté par la maladie de sa profession, le saturnisme.

« Avec ma dernière création, la grande rosace de Saint-Ouen, il me semblait avoir accompli la mission demandée : faire entrer un peu de paradis sur terre, témoigner de ce monde invisible entrevu quelques instants. »

Dans ce roman, Jacques Anquetil nous fait découvrir, au fil des voyages du héros dans la Normandie du XIXe siècle, ce métier fascinant des « maîtres de la lumière », aujourd’hui presque perdu.

Les maîtres de la lumière

Presses de la Renaissance - 2005

Mémoire de tisserand

Nil Editions - 1997

Le sage et le tisserand

Revivre le festival : Cafés littéraires
Avec : ANQUETIL Jacques, LACARRIERE Jacques, LAPOUGE Gilles - Saint-Malo 1997