Paris

Frédéric Laffont (Interscoop, La Sept ARTE, 1999, 43’)

2 juillet 2013.
 

Le voyage de Frédéric Laffont est fait de rencontres fortuites dans des bars populaires où naît la poésie, de travellings en bateau-mouche le long des quais, des souvenirs de gens qui ont aimé cette ville, d’un camaïeu de gris ardoise et de vert bucolique...
Il ne s’agit pas d’un Paris secret, d’un Paris révélé ou d’un Paris nostalgique... mais d’un Paris éternel et particulier, personnel et magique.

J’aime Paris, cité cruelle, qui souvent me réconforte. Après Palerme et Beyrouth, mes deux premières destinations pour ces voyages avec Arte, mon propos est de partir à Paris pour un voyage affectueux.
Lumières matinales et lueurs vespérales, illuminations majestueuses et artificielles, rencontres de hasard, regard au plus près des autres regards. Quête de filmer l’éblouissement de l’œil, mais aussi la transformation du voyageur. [...] Flâneur qui réapprend à marcher, je veux ouvrir les yeux sur ma ville comme une première fois.

Frédéric Laffont.