La nuit des morts

Anacharsis

16 mars 2015.
 

José Ángel Mañas déroule ici une frise flamboyante comme un bas-relief babylonien qui aurait été conçue par un dramaturge grec.
La nuit de l’an 323 avant Jésus-Christ. Alexandre le
Grand, fiévreux, agonise dans son lit face aux jardins
suspendus de Babylone. À sa demande, son devin Aristandre convoque les mânes de ceux qui l’ont accompagnédans son invraisemblable entreprise. Lentement, l’un après l’autre, les fantômes arrivent boire le sang chaud du sacrifice et se confrontent à Alexandre, auquel ils font revivre, âpres, cruels
ou joyeux, les jours intenses de son aventure.
Ainsi commence cette Nuit des Morts, point d’ancrage d’une fresque épique que José Ángel Mañas nous fait revivre en nous emmenant de la Macédoine jusqu’en Inde en passant par Suse, capitale de l’Empire perse achéménide, ou les
déserts d’Égypte et d’Hyrcanie.
Emportés par les péripéties d’une conquête effrénée qui semble ne jamais devoir finir, Macédoniens, Perses, Indiens on Égyptiens un temps amis, le lendemain ennemis implacables, au campement d’Alexandre ou dans les palais des capitales de l’Empire perse, se débattent comme qui se noit dans la mer d’un destin d’orage. Nicias, simple soldat, Alexandre et ses amis d’enfance, Darius Codoman, Grand Roi de Perse, ou sa mère Sisygambis, Autophradatès et Artabaze, les fidèles tenants d’un empire qui s’effondre, ou Cambyse, traître malgré lui, et Bessos l’ambitieux donnent de la voix dans un monde bouleversé où les dieux eux-mêmes sont de la partie.

Un roman polyphonique au rythme hardi dont les chants successifs nous conduisent au coeur des petites et grandes aventures qui ont présidé à la naissance par le fer et dans le sang d’un empire aussi immense qu’éphémère, et à l’éclosion d’une légende universelle.
La Nuit des Morts, au fond, c’est le Roman d’Alexandre de ce début de XXIe siècle.

Traduit de l’espagnol par Anouk Minkine.


Revue de presse

C’est un magnifique roman qui ne devrait pas intéréssé que les amateurs du genre historique."

https://www.joseangelmanas.com/secreto_oraculo.html

Lors de la phase de recherche, il a retrouvé ses vieux livres de la Faculté d’Histoire. Des études qui lui ont permis de se rapprocher de cette époque avec plus d’aisance. "Il existait une tension entre le roman et l’Histoire, mais je n’ai pas hésité. J’ai pris les licences poétiques dont j’avais besoin. Quand tu entreprends un tel défi, tu as deux problèmes : exagérer ou réduire le nombre de pages. Ce sont onze ans de campagne. Il faut synthétiser. Je l’ai fait en cinq cents pages. L’obstacle suivant est la monotonie. Il faut tisser les batailles de sorte à ne pas ennuyer, parce quec’est toujours la même chose : Alexandre arrive, il affronte son adversaire et gagne. Et cela se répèet encore et encore.
https://www.larazon.es/manas-deja-el-kronen-y-se-pasa-a-la-novela-historica-QJLA_RAZON_29164#Ttt1u4tLRAXB5fpS


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La nuit des morts

Anacharsis - 2015

José Ángel Mañas déroule ici une frise flamboyante comme un bas-relief babylonien qui aurait été conçue par un dramaturge grec.
La nuit de l’an 323 avant Jésus-Christ. Alexandre le
Grand, fiévreux, agonise dans son lit face aux jardins
suspendus de Babylone. À sa demande, son devin Aristandre convoque les mânes de ceux qui l’ont accompagnédans son invraisemblable entreprise. Lentement, l’un après l’autre, les fantômes arrivent boire le sang chaud du sacrifice et se confrontent à Alexandre, auquel ils font revivre, âpres, cruels
ou joyeux, les jours intenses de son aventure.
Ainsi commence cette Nuit des Morts, point d’ancrage d’une fresque épique que José Ángel Mañas nous fait revivre en nous emmenant de la Macédoine jusqu’en Inde en passant par Suse, capitale de l’Empire perse achéménide, ou les
déserts d’Égypte et d’Hyrcanie.
Emportés par les péripéties d’une conquête effrénée qui semble ne jamais devoir finir, Macédoniens, Perses, Indiens on Égyptiens un temps amis, le lendemain ennemis implacables, au campement d’Alexandre ou dans les palais des capitales de l’Empire perse, se débattent comme qui se noit dans la mer d’un destin d’orage. Nicias, simple soldat, Alexandre et ses amis d’enfance, Darius Codoman, Grand Roi de Perse, ou sa mère Sisygambis, Autophradatès et Artabaze, les fidèles tenants d’un empire qui s’effondre, ou Cambyse, traître malgré lui, et Bessos l’ambitieux donnent de la voix dans un monde bouleversé où les dieux eux-mêmes sont de la partie.

Un roman polyphonique au rythme hardi dont les chants successifs nous conduisent au coeur des petites et grandes aventures qui ont présidé à la naissance par le fer et dans le sang d’un empire aussi immense qu’éphémère, et à l’éclosion d’une légende universelle.
La Nuit des Morts, au fond, c’est le Roman d’Alexandre de ce début de XXIe siècle.

Traduit de l’espagnol par Anouk Minkine.


Revue de presse

C’est un magnifique roman qui ne devrait pas intéréssé que les amateurs du genre historique."

https://www.joseangelmanas.com/secreto_oraculo.html

Lors de la phase de recherche, il a retrouvé ses vieux livres de la Faculté d’Histoire. Des études qui lui ont permis de se rapprocher de cette époque avec plus d’aisance. "Il existait une tension entre le roman et l’Histoire, mais je n’ai pas hésité. J’ai pris les licences poétiques dont j’avais besoin. Quand tu entreprends un tel défi, tu as deux problèmes : exagérer ou réduire le nombre de pages. Ce sont onze ans de campagne. Il faut synthétiser. Je l’ai fait en cinq cents pages. L’obstacle suivant est la monotonie. Il faut tisser les batailles de sorte à ne pas ennuyer, parce quec’est toujours la même chose : Alexandre arrive, il affronte son adversaire et gagne. Et cela se répèet encore et encore.
https://www.larazon.es/manas-deja-el-kronen-y-se-pasa-a-la-novela-historica-QJLA_RAZON_29164#Ttt1u4tLRAXB5fpS


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