Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Albin Michel

23 avril 2015.
 

Prix Pulitzer 2015. Il présentera son livre en avant-première à Saint-Malo !

Marie-Laure Le Blanc est fille unique et vit avec son père près du Muséum d’histoire naturelle de Paris où il travaille. La petite fille perd progressivement la vue jusqu’à devenir totalement aveugle à l’âge de six ans, et son père crée alors pour elle une maquette reconstituant fidèlement leur quartier pour l’aider à s’orienter et à se déplacer dans la ville. Six ans plus tard, l’Occupation nazie les pousse à trouver refuge à Saint-Malo chez l’oncle du père de Marie-Laure, un excentrique profondément marqué par son expérience de la Première Guerre mondiale, qui vit désormais reclus dans sa maison en bord de mer. Pour éviter que les Allemands ne s’en emparent, le Muséum leur a confié un joyau rare, la copie d’un diamant ayant appartenu à la famille royale de France dont ils ignorent qu’il s’agit en réalité de l’original.
Loin de là, en Allemagne, un orphelin prénommé Werner grandit dans un pensionnat destiné à accueillir les enfants des mineurs décédés dans les puits de la région. Curieux et intelligent, il se passionne pour la science et la mécanique et apprend rapidement à réparer les machines qui lui tombent sous la main. Un talent rare repéré par les Jeunesses hitlériennes où il se trouve enrôlé. Prenant conscience des fins auxquelles est utilisée son intelligence, il est sanctionné, devenant simple soldat dans la Wehrmacht et traversant la guerre jusqu’à son arrivée en France en 1944, où son chemin croisera celui de Marie-Laure alors que Saint-Malo est incendiée et pilonnée par les bombes.
Entrecroisant avec une maîtrise éblouissante les destins de ces deux enfants, Anthony Doerr offre un magnifique roman, soigneusement documenté et profondément émouvant.


Revue de presse

« Un roman d’une beauté envoûtante. »
https://www.nytimes.com/2014/05/11/books/review/all-the-light-we-cannot-see-by-anthony-doerr.html?_r=0 The New York Times

« Un roman magnifiquement écrit, une histoire captivante. Toutes les pièces de cette histoire ont leur importance et s’assemblent finalement en un puzzle qui révèle un véritable trésor. »
The Washington Post

« Un roman magnifique, émouvant et étonnamment joyeux. Prodigieux ! »
The Seattle Times

« Étonnant et résolument captivant, le nouveau roman d’Anthony Doerr nous entraîne vers la lumière en faisant revivre les nuits les plus sombres de l’Histoire. »
Entertainment Weekly

« Anthony Doerr évoque un large éventail de thèmes passionnants dans ce roman singulièrement saisissant. » The Boston Globe

« Dans ce roman sublime et aussi captivant qu’un thriller, Anthony Doerr évoque la grâce cachée et la lumière invisible à nos yeux qui surgit parfois dans les moments les plus sombres. »
San Francisco Chronicle

« Un roman ambitieux, magnifique et véritablement majestueux. »
Los Angeles Times

« Une réflexion profonde et passionnante sur le destin, le libre arbitre, et la façon dont, en temps de guerre, les choix les plus simples peuvent être lourds de conséquences. »
The New Yorker

 

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Toute la lumière que nous ne pouvons voir

Albin Michel - 2015

Prix Pulitzer 2015. Il présentera son livre en avant-première à Saint-Malo !

Marie-Laure Le Blanc est fille unique et vit avec son père près du Muséum d’histoire naturelle de Paris où il travaille. La petite fille perd progressivement la vue jusqu’à devenir totalement aveugle à l’âge de six ans, et son père crée alors pour elle une maquette reconstituant fidèlement leur quartier pour l’aider à s’orienter et à se déplacer dans la ville. Six ans plus tard, l’Occupation nazie les pousse à trouver refuge à Saint-Malo chez l’oncle du père de Marie-Laure, un excentrique profondément marqué par son expérience de la Première Guerre mondiale, qui vit désormais reclus dans sa maison en bord de mer. Pour éviter que les Allemands ne s’en emparent, le Muséum leur a confié un joyau rare, la copie d’un diamant ayant appartenu à la famille royale de France dont ils ignorent qu’il s’agit en réalité de l’original.
Loin de là, en Allemagne, un orphelin prénommé Werner grandit dans un pensionnat destiné à accueillir les enfants des mineurs décédés dans les puits de la région. Curieux et intelligent, il se passionne pour la science et la mécanique et apprend rapidement à réparer les machines qui lui tombent sous la main. Un talent rare repéré par les Jeunesses hitlériennes où il se trouve enrôlé. Prenant conscience des fins auxquelles est utilisée son intelligence, il est sanctionné, devenant simple soldat dans la Wehrmacht et traversant la guerre jusqu’à son arrivée en France en 1944, où son chemin croisera celui de Marie-Laure alors que Saint-Malo est incendiée et pilonnée par les bombes.
Entrecroisant avec une maîtrise éblouissante les destins de ces deux enfants, Anthony Doerr offre un magnifique roman, soigneusement documenté et profondément émouvant.


Revue de presse

« Un roman d’une beauté envoûtante. »
https://www.nytimes.com/2014/05/11/books/review/all-the-light-we-cannot-see-by-anthony-doerr.html?_r=0 The New York Times

« Un roman magnifiquement écrit, une histoire captivante. Toutes les pièces de cette histoire ont leur importance et s’assemblent finalement en un puzzle qui révèle un véritable trésor. »
The Washington Post

« Un roman magnifique, émouvant et étonnamment joyeux. Prodigieux ! »
The Seattle Times

« Étonnant et résolument captivant, le nouveau roman d’Anthony Doerr nous entraîne vers la lumière en faisant revivre les nuits les plus sombres de l’Histoire. »
Entertainment Weekly

« Anthony Doerr évoque un large éventail de thèmes passionnants dans ce roman singulièrement saisissant. » The Boston Globe

« Dans ce roman sublime et aussi captivant qu’un thriller, Anthony Doerr évoque la grâce cachée et la lumière invisible à nos yeux qui surgit parfois dans les moments les plus sombres. »
San Francisco Chronicle

« Un roman ambitieux, magnifique et véritablement majestueux. »
Los Angeles Times

« Une réflexion profonde et passionnante sur le destin, le libre arbitre, et la façon dont, en temps de guerre, les choix les plus simples peuvent être lourds de conséquences. »
The New Yorker