LE POGAM Jean-Luc

13 mai 2015.
 

Né en 1957 à Brest, Jean-Luc Le Pogam, passionné de voile et de musique, s’inscrit très tôt dans un cursus des plus décousus : tour à tour banquier repenti, journaliste/critique de rock et bande dessinée, enseignant, attaché de presse de festivals, membre de l’organisation du festival BD Quai des Bulles de Saint-Malo, auteur-scénariste-metteur en scène d’une quinzaine de pièces pour le théâtre jeunesse, il coécrit Monnaie de singe, 5ème volume de la série Jeunesse Filosec et Biscoto (Éditions Palemon) au côté de Jean Failler (Mary Lester) en 2005.
S’en suivront les dossiers pédagogiques destinés aux classes du CM à la 6ème publiés aux Éditions Édélios en 2006 et 2007.
En 2008, il débute l’écriture des Mange-Rêve (Éditions Palemon). Forte de son double code de lecture, cette saga d’anticipation s’adresse sans distinction aux préados, ados et adultes qu’elle fascine dès son premier volume.
L’auteur vit et écrit en Bretagne. Il participe durant l’année à de très nombreux salons du livre.

Site de l’auteur

www.jeanluclepogam.fr

 

DERNIER OUVRAGE

 
Essais

Lettre à Thibaut Pinot

Goater - 2024

Le mois d’octobre 2023 marque la fin de carrière du cycliste Thibaut Pinot. Aimé pour ses victoires autant que pour ses échecs, il a marqué les esprits de nombreux supporters. Jean-Michel Le Boulanger est l’un d’entre eux. Une lettre entre ode au coureur, traversée intime de la Bretagne et récit autour du cyclisme. « Vous êtes un drôle de coureur, Thibaut Pinot. Vous grimacez quand tant de vos concurrents paraissent impavides, impassibles. Vous attaquez et attaquez encore quand tant de coureurs semblent mesurer leurs forces. Vous êtes malade quand il ne faut pas l’être. Vous êtes victime de défaillances quand d’autres sont toujours fidèles à leur niveau, dans une régularité de métronome. Vous gagnez des étapes très prestigieuses et perdez du terrain à des moments plus anodins. Oui, vous êtes un drôle de coureur et être supporter de Thibaut Pinot est un exercice difficile. Ce qui est sûr, et c’est pourquoi on vous aime, c’est qu’avec vous l’eau n’est jamais tiède ni la course prévisible. »