La langue des bêtes

Editions du Rouergue

1er mars 2017.
 

Au fond des bois, vit une communauté d’anciens membres d’un cirque. Depuis très longtemps ils ne donnent plus de spectacle. Un jour, de grands travaux grignotent le territoire autour d’eux, et on oblige l’enfant de la famille, La Petite, à rejoindre l’école du village.

Dans la continuité de son roman précédent, Le Cœur des louves, Stéphane Servant raconte une fable contemporaine, sur la perte de nos origines primitives, le rapport aux animaux et à la nature dans notre monde contemporain.


Revue de presse

« Tout le roman durant, nous allons suivre leur bataille, à cette enfant sauvage et son entourage un peu marginal et y découvrir de la vie, de la rage, de l’humiliation, de l’humilité, de l’amour, des fêlures, beaucoup de fêlures, de la mort, de la joie, de la force et beaucoup d’imaginaire. Jusqu’à être presque déçu, perdu de refermer le livre. Parce qu’on avait fini par se l’approprier. » La soupe de l’espace

« La langue des bêtes nous entraîne dans une histoire hors normes, hors du temps, déroutante, avec un soupçon de surnaturel et finalement déstabilisante mais tellement attrayante ! » Opalivres

« Si la langue des bêtes est un mystère pour les hommes, celle de Stéphane Servant nous ravit et nous émerveille. J’ai beaucoup aimé son écriture, son intérêt pour la langue et les mots qui transparaît également dans son histoire. Il y a de la poésie, de la fureur, du mensonge, de la beauté, de l’horreur et la vérité…on ne ressort certainement pas indemne d’un roman de Stéphane Servant. » Bob et Jean-michel

 

DERNIER OUVRAGE

 
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Monstres

Thierry Magnier - 2023

Lorsqu’un cirque itinérant débarque dans son village, le jeune Otto s’y rend, intrigué par l’annonce d’une bête terrifiante, d’un Monstre en lettres majuscules ! Mais sous le chapiteau, quand le rideau se lève enfin, c’est la surprise totale, autant pour les spectateurs que pour le lecteur... À cheval entre roman graphique et roman illustré, un livre inclassable d’une poésie éblouissante qui nous rappelle que nous sommes tous le monstre de quelqu’un.