L’oiseau du bon dieu

Gallmeister

21 mars 2017.
 

En 1856, Henry Shackleford, douze ans, traîne avec insouciance sa condition de jeune esclave noir. Jusqu’à ce que le légendaire abolitionniste John Brown débarque en ville avec sa bande de renégats. Henry se retrouve alors libéré malgré lui et embarqué à la suite de ce chef illuminé qui le prend pour une fille. Affublé d’une robe et d’un bonnet, le jeune garçon sera brinquebalé des forêts où campent les révoltés aux salons des philanthropes en passant par les bordels de l’Ouest, traversant quelques-unes des heures les plus marquantes du XIXe siècle américain. Dans cette épopée romanesque inventive et désopilante, récompensée par le prestigieux National Book Award en 2013, James McBride revisite avec un humour féroce et une verve truculente l’Histoire de son pays et de l’un de ses héros les plus méconnus.

Traduit de l’anglais (États-Unis) par François Happe


Revue de presse :

Narration innovante, humour mordant et rebondissements improbables. Une partition parfaite.
Laetitia Greffiée, Ouest-France

 

DERNIER OUVRAGE

 
Romans

Mets le feu et tire-toi - À la recherche de James Brown et de l’âme l’Amérique

Gallmeister - 2017

« Au cours de ses quarante-cinq ans de carrière, James Brown a vendu plus de deux cents millions de disques, il a enregistré trois cent vingt et un albums, dont seize ont été des hits, il a écrit huit cent trente deux chansons et a reçu quarante-cinq disques d’or. Il a révolutionné la musique américaine. Il était extraordinairement talentueux Un danseur génial. Un spectacle à lui tout seul. Un homme qui aimait rire. Un drogué, un emmerdeur. Un type qui avait le chic pour s’attirer des ennuis. Un homme qui échappait à toute tentative de description. La raison ? Brown était l’enfant d’un pays de dissimulation : le Sud des États-Unis. »

Jazzman et romancier, lauréat du National Book Award, James McBride se lance sur les traces d’une icône de la musique américaine. De rencontres en entretiens, il nous offre un tableau magistral de l’univers de James Brown et nous livre une vision troublante de la société américaine actuelle.

Traduit de l’anglais (États-Unis) par François Happe