Les chats sont ici passés au crible du talent poétique et impertinent de Bruno Gibert, qui nous en offre une étude peu scientifique, ouvertement fantasque et complètement réjouissante.
On apprend ainsi que tous les chats lisent avec leurs fesses ; on se demande pourquoi il n’existe pas de chat frisé ; on constate qu’ils chérissent certains tissus d’ameublement ; qu’ils aimeraient tous avoir une vache comme amie, et 41 autres vérités.
Revue de presse
"Ses observations pleines de malice (« sans son H le chat devient anglais ») et de tendresse (« les chats agrandissent les familles ») accompagnent des illustrations joliment traitées façon sérigraphie des années 1950." (Maïa Bouteillet, Paris mômes)
"Chaque vignette est conçue comme un petit sketch, une œuvre d’art moderne, un instant de poésie où l’on nous montre, preuve à l’appui, qu’une maison est clairement plus jolie avec un chat." (Anne-Sophie Rouveloux, La page des Libraires)