La belle et la bête

Casterman Jeunesse

15 février 2018.
 

"Il y avait une fois un marchand, qui était extrêmement riche. Ses filles étaient très belles ; mais la cadette surtout se faisait admirer et on ne l’appelait, quand elle était petite, que la belle enfant..." Pour sauver la vie de son père, la Belle accepte d’être l’otage de la Bête, jusqu’au jour où elle s’aperçoit que derrière ses apparences monstrueuses vit et souffre un être humain digne de respect... et d’amour.
Ce conte mondialement célèbre, dont la version de Mme Leprince de Beaumont est la plus fameuse, trouve avec David Sala un illustrateur à sa mesure : lumineux, inspiré et repoussant sans cesse les limites de son art.

Revue de presse

"La force de ce nouvel album, tient également du trait de David Sala, puissant et singulier, le dessin est soigné, empli d’ornements et fioritures, offrant de magnifiques et indéterminables costumes à ses personnages." (France Net Infos)

"Ce conte mondialement célèbre, dont la version de Mme Leprince de Beaumont est la plus fameuse, trouve avec David Sala un illustrateur à sa mesure : lumineux, inspiré et repoussant sans cesse les limites de son art." (Librairie Doucet)

 

DERNIER OUVRAGE

 
Bande Dessinée

Le joueur d’échecs

Casterman BD - 2017

Les premiers pas furent un fiasco, je n’arrêtais pas de m’embrouiller, cinq, dix, vingt fois, je dus reprendre le début de la partie.
Mais j’avais tout mon temps... Moi, l’esclave du néant...

1941. Dans les salons feutrés d’un paquebot en route pour l’Argentine, le champion du monde d’échecs affronte lors d’une ultime partie un aristocrate viennois, dont l’incroyable maîtrise du jeu est née dans l’antre de la tyrannie.
Cette dénonciation poignante et désespérée de la barbarie nazie est le dernier texte écrit par Stefan Zweig avant son suicide.

Revue de presse

"Chaque case devient une toile, une oeuvre unique, une aquarelle, avec des tons verts et rouges. Avec ce souci du détail : des quadrillages à l’infini, dans la forme des planches, mais aussi à l’intérieur des cases pour rappeler le plateau d’un jeu d’échec." (France Inter)

"David Sala signe une somptueuse adaptation d’une nouvelle crépusculaire de Stefan Zweig et laisse éclater son talent." (Jérôme Dupuis, L’Express)