SORDAT Marie

France

19 mars 2018.

Photographe et commissaire d’exposition, Marie Sordat qui vit et travaille en Belgique, propose en 2018 l’exposition Eyes Wild Open, dans laquelle certains des plus grands photographes des années 1950 à nos jours dialoguent dans une scénographie unique, qui met en évidence les liens entre ces générations de photographes à l’écriture intuitive, abrupte, voire transgressive, de Robert Frank à Sébastien Van Malleghem en passant par la génération Vu’ et Lorenzo Castore.

 

Photographe et commissaire d’exposition, Marie Sordat vit et travaille en Belgique. Elle conçoit cette année l’exposition Eyes Wild Open, qui réunit pour la première fois 70 ans de photographie au Musée Botanique de Bruxelles jusqu’au 22 avril 2018.

Les œuvres de Marie Sordat sont exposées et projetées depuis 2004 dans de nombreux festivals, galeries, et musées en Europe, parmi lesquels les Rencontres d’Arles, la Biennale internationale de photographie de Liège, ou encore le musée Botanique de Bruxelles. En 2012, sa série Motherland intègre la Bibliothèque nationale de France et reçoit la sélection du Jury du Prix Virginia. Elle enseigne également la photographie à l’Insas et organise chaque année des conférences et des expositions de photographes de talent.

Elle propose en 2018 l’exposition Eyes Wild Open, dans laquelle certains des plus grands photographes des années 1950 à nos jours dialoguent dans une scénographie unique. Tout en mettant en valeur le regard unique de chaque artiste, elle les place dans ce qu’elle appelle « la photographie tremblante », un « état aussi physique qu’émotionnel, […] l’anti-recherche de précision, de position objective » (Polka). De Robert Frank à Sébastien Van Malleghem en passant par la génération Vu’ et Lorenzo Castore, Eyes Wild Open met en lumière les liens entre cette famille de photographes à l’écriture intuitive, abrupte voire transgressive. Le catalogue qui en est tiré complète l’exposition par des textes et entretiens de grands noms de la photographie, comme Caroline Bénichou ou Christian Caujolle.


Bibliographie