Pour saluer Jean GIONO

Avec : Pierre CITRON, Sylvie GIONO, Jacques LACARRIÈRE, Sylvia LACARRIÈRE

16 octobre 2019.
 

Avec : Pierre CITRON, Sylvie GIONO, Jacques LACARRIÈRE, Sylvia LACARRIÈRE
Animé par Maëtte CHANTREL et Christian ROLLAND

 

DERNIER OUVRAGE

 

Le géographe des brindilles (de J. Lacarrière)

Hozhoni - 2018

Dans ce nouveau et savoureux recueil, l’auteur de L’Eté grec et de Chemin faisant nous emporte par sa qualité d’écriture, son humour, son appétence pour les mots, sa poésie délicate et sa culture singulière. Il nous entraîne dans Une forêt de signes où l’on respire Le parfum des légendes et où l’on écoute avec ravissement La cantate des chemins. L’Ode à mes amis les arbres, L’offertoire des vents ou L’homme qui voulut rencontrer le printemps sont autant d’agréables moments à passer en compagnie de celui qui fut aussi un arpenteur émerveillé des chemins et un attentif écrivain-voyageur nous emmenant avec délectation au pays des arganiers, dans sa Bourgogne ou sa Grèce tant aimée. Féru de botanique et de biologie, l’amoureux des jardins et des "jardineurs" savait errer dans les bois, discourir savamment sur Le privilège de l’abeille, La mémoire des Libellules ou la Sagesse serpentine, esquisser le portrait d’une vache, passer (au microscope !) Un été chez les Infusoires, déceler La mélancolie du géranium, s’inquiéter de La nostalgie de l’anguille ou réclamer Justice pour les Crapauds. La relation de Lacarrière avec la nature est, nous dit Gil Jouanard dans sa belle préface, celle "des nomades du Paléolithique qui habitaient le monde en le nommant"...

 

DERNIER OUVRAGE

 

Le géographe des brindilles (de J. Lacarrière)

Hozhoni - 2018

Dans ce nouveau et savoureux recueil, l’auteur de L’Eté grec et de Chemin faisant nous emporte par sa qualité d’écriture, son humour, son appétence pour les mots, sa poésie délicate et sa culture singulière. Il nous entraîne dans Une forêt de signes où l’on respire Le parfum des légendes et où l’on écoute avec ravissement La cantate des chemins. L’Ode à mes amis les arbres, L’offertoire des vents ou L’homme qui voulut rencontrer le printemps sont autant d’agréables moments à passer en compagnie de celui qui fut aussi un arpenteur émerveillé des chemins et un attentif écrivain-voyageur nous emmenant avec délectation au pays des arganiers, dans sa Bourgogne ou sa Grèce tant aimée. Féru de botanique et de biologie, l’amoureux des jardins et des "jardineurs" savait errer dans les bois, discourir savamment sur Le privilège de l’abeille, La mémoire des Libellules ou la Sagesse serpentine, esquisser le portrait d’une vache, passer (au microscope !) Un été chez les Infusoires, déceler La mélancolie du géranium, s’inquiéter de La nostalgie de l’anguille ou réclamer Justice pour les Crapauds. La relation de Lacarrière avec la nature est, nous dit Gil Jouanard dans sa belle préface, celle "des nomades du Paléolithique qui habitaient le monde en le nommant"...