La coquille Saint-Jacques, sentinelle de l’océan

Éditions des Équateurs

28 février 2020.
 

Depuis son apparition il y a 25 millions d’années en Europe sur la côte Atlantique, la coquille n’a cessé de fasciner les hommes. Dans l’Antiquité, on l’utilisait comme une parure, puis la coquille devint un symbole religieux (sur le chemin de Compostelle) et artistique (associée à Vénus, à la féminité et à la maternité). Ce n’est qu’au début du XXème siècle que des Bretons ont commencé à la pêcher et à la manger. Et grâce aux recherches les plus récentes, menées notamment par Laurent Chauvaud, cet animal est devenu un outil scientifique, un modèle mathématique, un calendrier, un thermomètre, un témoin des contaminations, une archive environnementale, un sentinelle des évolutions passées et présentes du milieu marin et plus largement du réchauffement climatique (fonte des glaciers, évolution des températures, variations de luminosité), et même un instrument de musique dont on écoute le chant, le claquement des valves qui est encore un son porteur de message : il nous dit comment va la mer.

Avec clarté et humour, Laurent Chauvaud nous emmène au cœur de son laboratoire situé au bout de la rade de Brest, mais aussi sur le terrain, à Ouessant, au Maroc, en Norvège ou encore en Nouvelle-Calédonie, du pôle Sud au pôle Nord. Au cours de ses explorations, il ne cesse de nous raconter les histoires des coquilles, ses découvertes stupéfiantes, son métier passionnant qui cultive la sérendipité, c’est-à-dire cet art de trouver ce qu’on ne cherche pas.


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La coquille Saint-Jacques, sentinelle de l’océan

Éditions des Équateurs - 2019

Depuis son apparition il y a 25 millions d’années en Europe sur la côte Atlantique, la coquille n’a cessé de fasciner les hommes. Dans l’Antiquité, on l’utilisait comme une parure, puis la coquille devint un symbole religieux (sur le chemin de Compostelle) et artistique (associée à Vénus, à la féminité et à la maternité). Ce n’est qu’au début du XXème siècle que des Bretons ont commencé à la pêcher et à la manger. Et grâce aux recherches les plus récentes, menées notamment par Laurent Chauvaud, cet animal est devenu un outil scientifique, un modèle mathématique, un calendrier, un thermomètre, un témoin des contaminations, une archive environnementale, un sentinelle des évolutions passées et présentes du milieu marin et plus largement du réchauffement climatique (fonte des glaciers, évolution des températures, variations de luminosité), et même un instrument de musique dont on écoute le chant, le claquement des valves qui est encore un son porteur de message : il nous dit comment va la mer.

Avec clarté et humour, Laurent Chauvaud nous emmène au cœur de son laboratoire situé au bout de la rade de Brest, mais aussi sur le terrain, à Ouessant, au Maroc, en Norvège ou encore en Nouvelle-Calédonie, du pôle Sud au pôle Nord. Au cours de ses explorations, il ne cesse de nous raconter les histoires des coquilles, ses découvertes stupéfiantes, son métier passionnant qui cultive la sérendipité, c’est-à-dire cet art de trouver ce qu’on ne cherche pas.


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