Manifeste Incertain 1 : avec Walter Benjamin, rêveur abîmé dans le paysage

Noir sur Blanc

28 février 2020.
 

Des souvenirs éparpillés, la rumeur de la mer furieuse, Samuel Beckett, Bram van Velde, le retour des Esprits, deux jeunes fascistes à la fin des années 1980, et puis Walter Benjamin, rêveur abîmé dans le paysage, qui s’interroge sur l’avenir du roman, sur l’Histoire, sur l’avènement du nazisme et de la culture de masse. Après un premier séjour en 1932 sur l’île d’Ibiza, fuyant Berlin, il y retourne en 1933. C’est l’heure du basculement, de l’exil définitif, de la pauvreté et de la solitude.

Roman anti-romanesque, méditation sur le roman, roman fragmenté, écrit et dessiné, ce premier tome du Manifeste incertain est conçu comme un voyage dans la beauté, la fureur, la bêtise, les illusions et le désenchantement.

Revue de presse

 

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Biographie
Roman graphique

Manifeste Incertain 8 : Cartographie du souvenir, Suisse, Chine, Paul Léautaud, Ernest Renan

Noir sur Blanc - 2019

En se mariant, un homme hérite d’un beau-père tyrannique et fortuné, féru d’ésotérisme. Leurs rapports vont vite s’envenimer, dans une violence sourde.
Dans la montagne, une jeune gardienne de troupeau disparaît du jour au lendemain, sans explication.
À travers deux récits, l’auteur nous invite à un voyage dans la Suisse profonde et tourmentée.

Nous partons également pour la Chine populaire, celle de 1982, sous Teng Hsiao-Ping, et celle d’aujourd’hui, ainsi que pour l’île de Taïwan.

Ces récits sont entrecoupés de deux portraits : celui de Paul Léautaud se faisant peindre par Matisse, et celui d’Ernest Renan, à l’époque où il traversait une grave crise de conscience, avant de quitter définitivement le séminaire.

Biographie, autobiographie et fiction se mélangent dans ce Manifeste, soulignant de façon plus ou moins explicite les affres et les voluptés de l’incertitude.

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