Lake Success

L’Olivier

2 mars 2020.
 

À quarante-trois ans, Barry Cohen, New-Yorkais survolté à la tête d’un fonds spéculatif de 2,4 milliards de dollars, est au bord du précipice. Sous le coup d’une enquête de la Commission boursière, accablé par la découverte de l’autisme de son jeune fils, il prend une décision aussi subite qu’inattendue et embarque dans un car Greyhound. Destination : le Nouveau-Mexique où demeure celle qui fut jadis son premier amour et avec qui il imagine pouvoir refaire sa vie. Une vie plus simple, plus saine, plus heureuse. Commence alors une folle traversée du continent.
D’est en ouest, de highways en freeways, Barry découvre une autre Amérique : celle des pauvres, des marginaux, des déclassés. Pendant que sa femme entame une liaison avec un romancier, Barry fonce vers une improbable rédemption.
Sans se départir de son humour, Gary Shteyngart dresse le portrait d’une Amérique déboussolée à la veille de l’élection de Donald Trump et nous entraîne dans un road-trip infernal.


Revue de presse

« Un ultra-riche new-yorkais en crise embarque pour une inconfortable traversée des Etats-Unis à bord d’un autocar. L’écrivain américain est éblouissant de drôlerie et de profondeur. » Le Monde

« Ce que le roman de Gary Shteyngart a de singulier ou de plus que les autres, c’est un humour que la loufoquerie ne sature pas et un angle de vue quasiment documentaire sur l’Amérique blanche et pauvre. Il décrit à merveille les tenues, les silhouettes, les gestes, les goûts, la sexualité des individus riches ou pauvres que croise Barry. » Libération

« Sans se départir de son humour loufoque, Gary Shteyngart dresse le portrait d’une Amérique déboussolée, à la veille de l’élection de Donald Trump, et nous entraîne dans un road-trip qui tient plus des montagnes russes que du voyage d’agrément. » France Culture

« " Dans Lake Success, Gary Shteyngart entend l’Amérique à la perfection : sa fatuité, sa plainte douloureuse, son dégoût de soi. Le battement de son cœur. Quand je le lis, j’ai envie de hurler de rire, mais aussi de lui crier ma reconnaissance." » Richard Ford

 

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Lake Success

L’Olivier - 2020

À quarante-trois ans, Barry Cohen, New-Yorkais survolté à la tête d’un fonds spéculatif de 2,4 milliards de dollars, est au bord du précipice. Sous le coup d’une enquête de la Commission boursière, accablé par la découverte de l’autisme de son jeune fils, il prend une décision aussi subite qu’inattendue et embarque dans un car Greyhound. Destination : le Nouveau-Mexique où demeure celle qui fut jadis son premier amour et avec qui il imagine pouvoir refaire sa vie. Une vie plus simple, plus saine, plus heureuse. Commence alors une folle traversée du continent.
D’est en ouest, de highways en freeways, Barry découvre une autre Amérique : celle des pauvres, des marginaux, des déclassés. Pendant que sa femme entame une liaison avec un romancier, Barry fonce vers une improbable rédemption.
Sans se départir de son humour, Gary Shteyngart dresse le portrait d’une Amérique déboussolée à la veille de l’élection de Donald Trump et nous entraîne dans un road-trip infernal.


Revue de presse

« Un ultra-riche new-yorkais en crise embarque pour une inconfortable traversée des Etats-Unis à bord d’un autocar. L’écrivain américain est éblouissant de drôlerie et de profondeur. » Le Monde

« Ce que le roman de Gary Shteyngart a de singulier ou de plus que les autres, c’est un humour que la loufoquerie ne sature pas et un angle de vue quasiment documentaire sur l’Amérique blanche et pauvre. Il décrit à merveille les tenues, les silhouettes, les gestes, les goûts, la sexualité des individus riches ou pauvres que croise Barry. » Libération

« Sans se départir de son humour loufoque, Gary Shteyngart dresse le portrait d’une Amérique déboussolée, à la veille de l’élection de Donald Trump, et nous entraîne dans un road-trip qui tient plus des montagnes russes que du voyage d’agrément. » France Culture

« " Dans Lake Success, Gary Shteyngart entend l’Amérique à la perfection : sa fatuité, sa plainte douloureuse, son dégoût de soi. Le battement de son cœur. Quand je le lis, j’ai envie de hurler de rire, mais aussi de lui crier ma reconnaissance." » Richard Ford