Sam. 18h, Maison du Québec

Les 20 ans de Mémoires d’encrier

21 mai 2023.
 
 

DERNIER OUVRAGE

 
Récit

Mon cœur bat vite

Mémoire d’encrier - 2023

Une lignée de combattantes, une île en dérive. Pour venger ses ancêtres, pour libérer son propre corps, Kim est prêt à tout.

Édith ne comprend pas pourquoi Kim est devenu un meurtrier. Guidée par ses ancêtres, Édith retrace les blessures qui ont amené son frère à venger les femmes de la lignée.
Nadia Chonville écrit le roman des Antilles avec Mon
coeur bat vite : une écriture audacieuse creusant tour à tour le merveilleux, le carnavalesque et le contemporain.
Remuant temps, rythmes et visages, Nadia Chonville
pose un regard neuf et engagé sur la Martinique d’aujourd’hui.
Mon coeur bat vite dit l’île, l’histoire, la colère et la folie.

 

DERNIER OUVRAGE

 
Essais

Les racistes n’ont jamais vu la mer

Mémoire d’encrier - 2021

Parlons de racisme puisque le racisme concerne tout le monde. Les écrivains Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban invitent à prendre part à cette conversation délicate, mais combien nécessaire. Ni manifeste, ni manuel, ni acte d’accusation, Les racistes n’ont jamais vu la mer engage le dialogue sur nous-mêmes et sur les autres. Tout s’exprime librement, se confronte et se répond. Les mots. Les expériences. Les idées. Les émotions. Parlons de racisme puisqu’il faut dépasser le repli sur soi. Pour vivre ensemble, autrement.

 

DERNIER OUVRAGE

 
Romans

Dis-moi pour qui j’existe ?

JC Lattès - 2022

Lorsque sa fille de 6 ans tombe malade, Aden doit faire face à cette douleur inexpliquée et aux blessures anciennes qu’il croyait oubliées. Il lui faut affronter son passé, se souvenir et enquêter : est-ce que la maladie de Béa est la sienne ? Peuvent-ils se sauver ensemble ?

Aden est un professeur épanoui et un père heureux.
Mais la maladie subite de sa fille réveille des souffrances anciennes. Lui aussi, enfant, est tombé malade et soudain, son corps se souvient de tout : de la vie à Djibouti, du garçon solitaire qu’il était, de la seule douceur d’une grand-mère, du réconfort des livres.
Chaque jour, il téléphone et écrit à sa fille. Il lui raconte les paysages de sa jeunesse, convoque les mânes de ses ancêtres, faiseurs de pluie ; elle lui parle de son quotidien, l’impatience de courir à nouveau. Le père retranscrit leurs mots pour garder une trace de la lutte et vaincre le mal grâce à ce qu’ils ont de plus précieux : l’espoir.

Un roman bouleversant qui sonde l’enfance, sa part heureuse et sa part d’épouvante, le dialogue lumineux d’un père et d’une fille qui triomphent en s’appuyant sur la mémoire et la poésie.