Dim. 20h15, Grande Passerelle 1

Soirée : Non, la Commune n’est pas morte

22 mai 2023.

Le soulèvement historique dans l’œil des auteurs et autrices de BD.

 

L’histoire de la Commune de Paris soulève les imaginaires de François Bourgeon et Édith qui racontent l’insurrection dans le dernier volet de la série des Passagers du vent et dans Séraphine, adaptation BD du roman de Marie Desplechin.

La rencontre entre ces deux passionné·es sera suivie de la projection du film Les Damnés de la Commune de Raphaël Meyssan. Un film d’animation à l’esthétique unique, pour raconter l’épopée des communard·es.

Dim. 20h15, Grande Passerelle 1

Entrée libre pour les festivaliers.

 

DERNIER OUVRAGE

 
Bande Dessinée

Les Passagers du vent, Tome 9. Le sang des cerises, Livre 2 : Rue des Martyrs

Delcourt - 2022

Après avoir vengé Klervi, blessée d’un coup de couteau par son ancien souteneur, Zabo décide de l’emmener loin de Paris. Au cours du voyage en train qui les conduit en Bretagne, Zabo confie à sa protégée les traumatismes qu’elle a subis durant la Semaine sanglante jusqu’à sa déportation en Nouvelle-Calédonie en compagnie de Louise Michel et Henri Rochefort, deux figures de la Commune de Paris...

 

DERNIER OUVRAGE

 
Bande Dessinée
Littérature jeunesse

Séraphine

Rue de Sèvres - 2022

Que faire de sa vie quand on a treize ans et qu’on est une fille pauvre, pas laide, sachant lire, sans autre protection que celle d’un vieux curé, d’une tante prostituée et d’une veuve ronchon ? Nonne ? Jamais. Séraphine est trop insolente. Couturière ? Non plus. Elle a trop envie de parler et de voir du monde. Peut-être qu’un jour les femmes pourront devenir juges, gendarmes ou avocats et faire de la politique... Peut-être même qu’un jour Dieu Lui-même sera une femme. Mais, pour l’instant, nous sommes en 1885, à Paris, ou plutôt à Montmartre. Le souvenir de la Commune est encore vif chez les uns. Les autres s’occupent de l’enterrer définitivement en bâtissant, là-haut sur la butte, le Sacré-Cœur. Et Séraphine ne voit qu’une solution pour mener la vie libre et sans misère dont elle rêve : s’en remettre à sainte Rita, la patronne des causes désespérées...

D’après le roman de Marie Desplechin