Mariusz Wilk s’est installé il y a quinze ans dans le
Nord de la Russie, pour y vivre loin de la civilisation.
Pourtant, de nombreux changements sont survenus
dans la maison carélienne au bord du lac Oniego.
Depuis la naissance de sa fille Martusza, l’écrivain
redécouvre la nature avec les yeux de l’enfance. Il
s’interroge sur l’importance du lieu où l’individu
grandit, reçoit une éducation et fait ses premiers
pas dans la vie. À la fois récit de voyage immobile et
journal littéraire, La Maison du vagabond évoque les
lieux traversés, les grands espaces russes, et l’ancrage
désormais nécessaire dans la maison de l’Oniego, au
coeur de la nature sauvage du Nord.
Mariusz Wilk partage également ses vagabondages
littéraires avec son lecteur, et entre en dialogue avec
de nombreux écrivains : Witold Gombrowicz, W.G.
Sebald, Nicolas Bouvier… Sa prose est entrelacée de
citations littéraires et de références sémantiques, tout
en restant vivante et concrète, ce qui la rend tout à
fait unique.
Dernier volume du « Journal du Nord », après La
Maison sur le bord de l’Oniego, Dans les pas du renne
et Dans le sillage des oeis sauvages, La Maison du vagabond
interpelle l’homme occidental sur sa manière de
vivre, et l’exhorte à observer le monde qui l’entoure
avec un regard neuf.
Bienvenue dans le pire cauchemar de Walt Longmire. L’hiver approche, et pour le shérif, il s’annonce bien plus rude que d’habitude. Tomas Bidarte, le chef de l’un des plus redoutables cartels du Mexique, a kidnappé sa fille Cady. Parti à sa rescousse, Walt s’enfonce dans le désert mexicain, loin de tout, où personne ne parle sa langue ni n’est susceptible d’aider un étranger. Quant aux autorités américaines ou mexicaines, inutile d’y songer. C’est donc armé de son fidèle Colt .45, de sa rage et de son intuition que Walt s’en va affronter toute une organisation.
Traduit de l‘américain par Sophie Aslanides