Road story

25 septembre 2009.
 

Prendre la route, avancer toujours, se perdre à la poursuite d’un rêve ou sans se soucier d’aucune destination... Quatre auteurs racontent leurs "histoires de route" : Eric Sarner qui est parti là où tant d’autres avant lui ont épuisé semelles et pneus, sur la mythique route 66, Madison-Smartt Bell qui conte l’histoire d’un musicien itinérant aux Etats-Unis comme ils sont des milliers à vivre sur les routes chaque jour, Fabio Geda qui suit l’itinéraire d’un enfant roumain de 13 ans lancé sur les routes d’Europe à la recherche de son grand-père et des rêves qu’il incarne et Blaise Hofmann, Prix Bouvier 2008 avec Estives, dont l’héroïne largue les amarres et tente de fuir sa vie, en quête de liberté. Une rencontre à revoir dès aujourd’hui.

Road story

Et retrouvez tous les Cafés Littéraires de l’édition 2009 du festival en cliquant ici.

 

DERNIER OUVRAGE

 
Récit

Marquises

Zoé éditions - 2014

Aux antipodes de l’Europe, voici les Marquises, une terre mythique, célébrée par Melville, Brel et Gauguin.
L’espace d’un hiver, Blaise Hofmann a parcouru les six îles habitées de l’archipel des Marquises. Et une île déserte.
Tour à tour bousculé, méditatif, ironique, emballé, il rend hommage à l’hospitalité des Marquisiens, à leur renouveau culturel. Il ne ferme toutefois pas les yeux sur les pick-up Toyota et les poulets aux hormones made in USA.
Blaise Hofmann fait le lien entre le passé de l’archipel et le quotidien d’aujourd’hui, il entremêle légendes insulaires, récits de navigateurs, comptes rendus de missionnaires, romans aventureux, correspondances de colons, presse locale, statuts Facebook et Tweeter. La nature y est aussi un personnage à part entière, une présence sensuelle.
C’est un carnet de route plein d’autodérision. Un regard empathique, curieux, critique et généreux sur ces îles du « bout du monde ».


Vidéo

 

DERNIER OUVRAGE

 
Poésie

99 codas : (sans récits)

La rumeur libre - 2023

La coda (en italien la queue) définit en musique une période musicale, vive et brillante, qui termine un morceau, en chorégraphie elle désigne la Troisième et dernière partie d’un pas de deux et par analogie, la coda désigne la partie terminale d’un écrit.


Les 99 codas d’Eric Sarner sont donc 99 parties terminales de 99 textes qui restent à écrire, ou alors les 99 variantes terminales d’une même histoire ?

En haut des marches
Elle entrouvrit la porte du grenier
Du plafond
Pendait un mannequin en bois articulé
Retenu par un câble d’acier