Maître américain de fantasy épique, Brandon Sanderson transporte ses jeunes lecteurs dans des univers magiques et mystérieux aux côtés de personnages désormais mythiques comme ceux de ses séries Elantris, Fils-des-brumes ou encore le jeune Alcatraz de la série du même nom.
Sa recette pour transporter son lecteur : d’abord, une intrigue complexe avec plein de rebondissements qui conduisent à un climax explosif. Ensuite la création d’un univers magique ménageant le réel et le fabuleux. Enfin, des personnages profonds confrontés à des problèmes qui transcendent le genre.
Le lecteur est ainsi embarqué dans des mondes corrompus comme la ville d’Elantis, jadis capitale puissante, ou comme l’Empire Ultime de Fils des brumes, soumis aux brouillards de Luthadel, aux pluies de cendre et au regard d’acier des Grands Inquisiteurs. Les personnages de Brandon Sanderson, grandis par un souffle épique, nourrissent des projets grandioses comme Kelsier qui rêve de renverser l’Empire. Autre ton dans la série Alcatraz, où le jeune héros du même nom est au contraire un personnage très maladroit, acteur de romans un poil déjantés et portés par un humour subversif. Mais il traverse lui aussi des aventures en chaine pleine de rebondissements. Après ses combats contre des bibliothécaires ou des ossements de scribes, il affronte cette année les chevaliers de Crystallia.
- Alcatraz contre les chevaliers de Crystallia (Mango, 2011)
- Fils-des-brumes, vol. 3 : Le Héros des siècles (Orbit, 2011)
- Alcatraz contre les ossements du scribe (Mango, 2010)
- Alcatraz contre les infâmes bibliothécaires (Mango, 2010)
- Fils-des-brumes, vol. 2 : Le Puits de l’ascension (Orbit, 2010)
- Fils-des-brumes, vol. 1 : L’Empire ultime (Orbit, 2010)
- Elantris, vol. 2 : Rédemption (Orbit, 2009)
- Elantris, vol. 1 : Chute (Orbit, 2009)
Présentation de Alcatraz contre les chevaliers de Crystallia
Alcatraz est un type super, génial même. En tout cas, c’est ce que tout le monde lui répète depuis qu’il est arrivé à Nalhalla, la grande cité des Royaumes Libres. Mais peut-il faire confi ance à ses hordes d’admirateurs ? Surtout que Nalhalla grouille d’infâmes Bibliothécaires dont le but serait de sceller la paix entre les camps ennemis.
Sont-ils sincères ou jouent-ils un double jeu ?