Dans les premiers jours de la vie de Bo, il y a des bombes, une cigarette qui part en fumée, une société totalitaire qui s’installe. Bo grandit, aime la musique, les mathématiques, ses amis, une femme, une autre. Il bricole les ondes et les transistors, invente une télécommande et un réveil-cafetière-tourne-disque.
Pour sauver son fils, Bo doit quitter le pays. Alors les autorités proposent un marché : devenir leur agent pour partir. Comment assumer son choix, quel qu’il soit ?
Sur fond de jazz et de be-bop, porté par une écriture facétieuse, Celui qui comptait être heureux longtemps conte une histoire lumineuse et tragique à la fois.
Un roman finaliste du Prix Ouest-France - Étonnants Voyageurs 2018.
Revue de presse
- "Une écriture très fluide, facétieuse, et surtout un mode de narration d’une très grande originalité. […] Lumineux, drôle et tragique à la fois." (Radio classique)
- "Avec ce dernier opus, en équilibriste légère et lumineuse, Irina frôle le désespoir avec un sens de la transgression teinté de poésie qui adoucit la gravité de son sujet… Ses écrits comptent nous rendre heureux longtemps… Ne doutons pas qu’ils y parviennent !" (À vos marques Tapage)