Les films
(Jean-Pierre Thorn, ADR Productions/INA, 2011, 73’)
Du rock au slam en passant par le punk et le hip-hop, histoire d’une résistance musicale dans le 93. Un vibrant hommage à une culture née du béton et de la révolte.
Département emblématique des banlieues françaises, la (
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Terence Winter & Martin Scorsese (HBO, 2010, 52’)
Dans les années 1920, l’homme d’affaires Nucky Thompson décide de se lancer dans l’industrie de l’alcool à Atlantic City, alors réprimé par la Prohibition. Il prend sous son aile Jimmy Darmody, un jeune vétéran de la (
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(Le collectif Stay Calm, Stay Calm Productions, 2006, 52’)
Le rap africain a longtemps été une utopie grandissant dans l’ombre du rap français, tout comme le rap français le fut à ses débuts face au géant américain. Et puis il y a eu Positive Black Soul, pionnier d’une expression (
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(Tamara Davis, Pretty Pictures, 2009, 88’)
Ce premier film documentaire sur Basquiat retrace l’ascension fulgurante de ce météore qui agita le monde de l’art contemporain. Grâce à un entretien inédit issu de ses propres archives, mais aussi à des images, (
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(Emanuelle Villard, Adalios Productions et France Télévisions pôle Outremer 1ère, 2010, 50’)
Souleymane Diamanka a grandi aux Aubiers, un quartier de Bordeaux, de parents de culture peule, originaires du Sénégal. Il "recycle" les dires de son père et de sa mère dans sa poésie urbaine, la mélangeant à d’autres (
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(Patrick Chaput & Laurence Drummond, Plaisir d’images, 2009, 51’)
A l’appui des images, dessins, photos, extraits de films, réalisés depuis ses premières interventions dans les années 1970 jusqu’aux plus récentes à Soweto, Alger, Brest, et à Ramallah en 2009, Ernest Pignon-Ernest raconte (
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(Virginia Vosgimorukian et Laurent Perry, La Famiglia, 2010, 2*26’)
Chef de chantier, mi-artiste, mi-DRH, le “showrunner” est la clef de voûte du système de production des plus grandes séries américaines. Entouré d’un bataillon de scénaristes, il est le maître d’œuvre de ces feuilletons (
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Sylvain Tesson et Florence Tran (Bô Travail !/France Tv, 2011, 52’)
Le recours aux forêts, solution à tous les maux de l’existence ! Pour assouvir son besoin de liberté, Sylvain Tesson a trouvé une solution radicale... s’enfermer seul dans une cabane, en pleine taïga sibérienne, pendant (
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Jacqueline Caux (Autoproduction/France 4, 2006, 52’)
Mise en lumière de l’émergence de la techno dans la ville défaite de Detroit, la ville de l’automobile, du Taylorisme, des chaînes de montage... sur les traces d’un des premiers DJ mythiques "Electryfing Mojo".
La bande (
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(JR., 27.11 Production, 2010, 88’)
WOMEN ARE HEROES se déroule aux quatre coins du monde et plus particulièrement au Brésil, en Inde, au Kenya et au Cambodge.
Le film commence dans les favelas brésiliennes, où l’on reconnaîtra d’immenses affiches de JR et (
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(Marc-Aurèle Vecchione, Résistance Films, 2004, 90’)
Paris 1983. Ils ont entre 14 et 18 ans et écrivent leur nom sur les murs de la ville. Inspirés par le phénomène new-yorkais, ils ne se contentent pas d’en reproduire les formes. Ils créent leur propre style, imposent (
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Sylvain Bouttet (2009, 52’)
Paul Bloas vit et travaille à Brest, il intervient en France et à l’étranger depuis 20 ans. Son travail consiste en l’élaboration de peintures géantes (2x3,80m) réalisées en atelier sur papier et collées ensuite sur les murs (
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