Après-midi sport de 14h à 19h

SPORT AU GRAND THÉÂTRE DU MONDE

L’espace romanesque par excellence. Une fantastique métaphore du monde. Un théâtre où s’affrontent les passions humaines, la liberté et le Destin. Unité de temps, de lieu, chœur ponctuant la pièce : nous sommes dans l’espace de la tragédie antique – les « dieux » grecs ne sont jamais que les noms donnés aux passions humaines…

L’espace romanesque par excellence. Une fantastique métaphore du monde. Un théâtre où s’affrontent les passions humaines, la liberté et le Destin. Unité de temps, de lieu, chœur ponctuant la pièce : nous sommes dans l’espace de la tragédie antique – les « dieux » grecs ne sont jamais que les noms donnés aux passions humaines…

  • DIMANCHE APRÈS-MIDI DÈS 14H, GRANDE PASSERELLE 1

L’espace romanesque par excellence. Une fantastique métaphore du monde. Un théâtre où s’affrontent les passions humaines, la liberté et le Destin. Unité de temps, de lieu, chœur ponctuant la pièce : nous sommes dans l’espace de la tragédie antique – les « dieux » grecs ne sont jamais que les noms donnés aux passions humaines…

Équipe féminine de basket

À 14h, en avant-première, un extrait du film de Rachid Bouchareb Champions de France, hommage aux champions d’hier et aux diversités de la France d’aujourd’hui, suivi d’une rencontre « Sport, miroir du monde » avec Pascal Blanchard, Pierre-Louis Basse, Benoît Heimermann, Marc Cheb Sun, John King. Puis, à 15h45, un film tout simplement formidable : Le mensonge d’Armstrong d’Alex Gibney. Rien à voir avec un simple reportage : une œuvre, réellement, sur le mensonge et la quête de la puissance. L’ascension et la chute de Lance Armstrong comme vous ne l’avez jamais vue. Et un film si dérangeant qu’aucune chaîne de TV française n’a osé le programmer.

À 18h, une rencontre « Besoin de héros » avec Cécile Coulon, Pierre-Louis Basse et Benoît Heimermann. Des super-héros aux dieux du stade, jamais le besoin de héros n’a été si vif, semble-t-il – en un temps où le fond de l’air intellectuel serait pourtant à leur dénonciation. Besoin de héros : besoin de fictions, besoin d’imaginaire ?