- © Jean-Dominique Burton
- Corinne HOEX
Corinne Hoex est née à Bruxelles en 1946. Historienne d’art et d’archéologie, elle a travaillé comme enseignante et chargée de recherches, publiant plusieurs études relatives aux arts et traditions populaires, avant de se consacrer pleinement à son oeuvre personnelle. Des romans – Le grand menu (2001), Ma robe n’est pas froissée (2008), Décidément je t’assassine (2010) – et plusieurs recueils poétiques assurent sa notoriété). Elle publie cette année un roman chez Grasset, Le ravissement des femmes et un recueil de poésie aux éditions Bruno Doucey.
- Le Ravissement des femmes (Grasset, 2012)
- Rouge au bord du fleuve (Bruno Doucey, 2012)
- Juin (Le Cormier, 2011)
- N.Y., avec des variations typographiques de Robert Lobet (La Margeride, 2011)
- Le Grand Menu (Les Impressions nouvelles, 2010)
- Décidément je t’assassine (Les Impressions nouvelles, 2010)
- Contre Jour, avec des vignettes de Frank Vantournhout (Le Cormier, 2009)
- La Nuit, la mer, avec des encres de Camille De Taeye (Didier Devillez, 2009)
- Ma robe n’est pas froissée (Les Impressions nouvelles, 2008)
- Cendres, avec des encres de Bernard Villers (Esperluète, 2002)
- Le Grand Menu( L’Olivier, 2001)
Présentation du Ravissement des femmes
Des femmes, adeptes des stages de développement personnel, sont subjuguées par un orateur au charme redoutable, qu’elles retrouvent chaque semaine, aimantées par son regard bleu et sa voix profonde.
Qui est cet homme ?
Que leur apporte-t-il ?
Jusqu’où ira le ravissement des femmes ?
Présentation de Rouge au bord du fleuve
"Dans l’île avec le vent et sa caresse aveugle, dans l’île ton châle rouge et les mains nues du vent, et tu fermes les yeux et tu entends le fleuve son grondement sourd, le fleuve moiré d’argent".
Revue de presse :
- "Faut-il dire à nouveau combien l’écriture de Corinne Hoex est un régal de ciselage où chaque mot est choisi avec soin, où chaque phrase, posée avec la plus grande justesse, propose un texte étincelant – tel un minéral. Un délice langagier ravissant l’esprit ou l’oreille – puisqu’il est de ces textes que l’oralité fait davantage encore résonner." Par Eric Brucher pour Antipode.be.