Un amour fou entre deux êtres, entre un peuple et sa terre, entre un auteur et ses personnages.
Quand un professeur d’histoire à la retraite se penche sur le journal de son aïeule, son monde vacille : les mémoires d’Erenora, jeune maorie qui vécut de plein fouet les guerres du XIXe siècle menées par les Anglais, sont bouleversantes. Femme libre et rebelle, elle va devoir quitter son village de Parihaka et traverser le pays en se faisant passer pour un homme afin de retrouver son amour de toujours. Témoignage direct de la brutalité coloniale, de la résistance passive et plus largement de l’histoire moderne de la Nouvelle-Zélande, l’odyssée d’Erenora — véritable héroïne shakespearienne — à la saveur des plus grandes oeuvres romanesques.
Traduit de l’angais (Nouvelle-Zélande) par Mireille Vignol
- « Les aventures d’Erenora (Leonore) et d’Horitana (Florestan), représentent la grande histoire postcoloniale d’un amour fou entre deux êtres, entre un peuple et son pays, el entre un auteur et ses personnages. » 20 Minutes
- « Avec “La femme de Parihaka”, le romancier maori Witi Ihimaera, nous livre bien plus qu’un roman facile à lire. Il s’agit d’un véritable pan de l’histoire du peuple maori et de la Nouvelle-Zélande à la fin du XIXe siècle, mêlé d’une formidable odyssée amoureuse. » Les nouvelles de Tahiti