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Moi, le glorieux

Le Tripode

L’Algérie française s’effondre, les fellaghas ont pris les armes et la révolte explose : les colons quittent le pays par bateaux entiers. Mais Albert Vandel, le plus riche d’entre eux, refuse l’évidence et décide de rester. Habité par sa rage, fabuleusement vieux et toujours terrifiant, il défie l’apocalypse qui s’annonce. Barricadé dans sa forteresse, entouré de ses derniers fidèles, il décide, coûte que coûte, d’honorer jusqu’au bout sa légende. 
Roman de la démesure coloniale et de la folie occidentale, à la fois farce et tragédie, Moi, le Glorieux se présente comme l’un des plus grands textes de l’auteur révélé par ­Attaquer la terre et le soleil (Le Tripode, Prix littéraire Le Monde 2022 et Prix du Livre Inter 2023).

L’illustration de couverture a été réalisée par Luca Palazzi


  • « Livre pyrotechnique, abyssal, respirant la sueur, le vétiver et la charogne, requiem pour un empire failli où l’on meurt en rêvant de houris tatouées et de paquebots salvateurs. » Le Point
  • « Il ne sera plus possible d’envisager la question coloniale sans le tranchant de son regard, sans la brutalité de ses descriptions, sans l’hubris débridé d’un "rêve" dément. (...) Mathieu Belezi, styliste brûlant et gargantuesque, procède par incantation de fureur et psalmodie de l’abjection. » La Croix
  • « Un puissant dyptique romanesque sur la colonisation française en Algérie. » Marie Richeux, France Culture
  • « Mathieu Belezi, follement inspiré, se glisse dans la peau distendue d’un colon absolu, gargantuesque et sadien juché sur l’Algérie française. Un grand livre. » La Tribune
Moi, le glorieux

Moi, le glorieux

Le Tripode - 2024

L’Algérie française s’effondre, les fellaghas ont pris les armes et la révolte explose : les colons quittent le pays par bateaux entiers. Mais Albert Vandel, le plus riche d’entre eux, refuse l’évidence et décide de rester. Habité par sa rage, fabuleusement vieux et toujours terrifiant, il défie l’apocalypse qui s’annonce. Barricadé dans sa forteresse, entouré de ses derniers fidèles, il décide, coûte que coûte, d’honorer jusqu’au bout sa légende. 
Roman de la démesure coloniale et de la folie occidentale, à la fois farce et tragédie, Moi, le Glorieux se présente comme l’un des plus grands textes de l’auteur révélé par ­Attaquer la terre et le soleil (Le Tripode, Prix littéraire Le Monde 2022 et Prix du Livre Inter 2023).

L’illustration de couverture a été réalisée par Luca Palazzi


  • « Livre pyrotechnique, abyssal, respirant la sueur, le vétiver et la charogne, requiem pour un empire failli où l’on meurt en rêvant de houris tatouées et de paquebots salvateurs. » Le Point
  • « Il ne sera plus possible d’envisager la question coloniale sans le tranchant de son regard, sans la brutalité de ses descriptions, sans l’hubris débridé d’un "rêve" dément. (...) Mathieu Belezi, styliste brûlant et gargantuesque, procède par incantation de fureur et psalmodie de l’abjection. » La Croix
  • « Un puissant dyptique romanesque sur la colonisation française en Algérie. » Marie Richeux, France Culture
  • « Mathieu Belezi, follement inspiré, se glisse dans la peau distendue d’un colon absolu, gargantuesque et sadien juché sur l’Algérie française. Un grand livre. » La Tribune