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Autoportrait d’une autre

Éditions Alto

Les livres parlent d’apparition et de disparition,

comme le cinéma et le théâtre.

Celui-ci n’est pas tout à fait un roman

ni un récit.

C’est la descente dans un puits,

une cérémonie mexicaine,

une enquête dans la ville.

C’est une photo où une femme apparaît

en personnage oublié.

Une boîte enchantée où mon visage

se dessinerait s’il le pouvait

dans un miroir inversé.

Une écrivaine part sur les traces de sa tante, morte tragiquement des décennies plus tôt. Avec cette femme au destin singulier qui n’a laissé que peu d’écrits, elle amorce une conversation impossible sur l’art, la folie, l’exil, la pensée et la mort, tout en faisant résonner un faisceau de correspondances poétiques.

Élise Turcotte dessine une généalogie de la tristesse et de la création, et pose son regard sur celles qui nous ont précédés, sur ce qu’elles nous apprennent sur nous-mêmes et ce qu’elles nous permettent d’imaginer. Parce que toutes les histoires, même les vraies, sont des fictions.


  • « Une “ cathédrale de questions ” — sur la folie, la honte, le concept de muse et la création artistique — qui se double, dans Autoportrait d’une autre, à de nombreux questionnements éthiques, intimes et littéraires. Peut-on parler de quelqu’un qui a existé ? Est-il décent de parler de soi ? Et quelle forme donner à cette fausse enquête ?. » Le Devoir
  • « Sous sa plume habile, même les espaces vacants et les silences prennent eux aussi vie, entre les fragments d’histoire. » Le Soleil
  • « Autoportrait d’une autre, un livre à la forme délicieusement libre […] qui ne répond qu’à ses propres exigences. » La Presse
Autoportrait d'une autre

Autoportrait d’une autre

Éditions Alto - 2023

Les livres parlent d’apparition et de disparition,

comme le cinéma et le théâtre.

Celui-ci n’est pas tout à fait un roman

ni un récit.

C’est la descente dans un puits,

une cérémonie mexicaine,

une enquête dans la ville.

C’est une photo où une femme apparaît

en personnage oublié.

Une boîte enchantée où mon visage

se dessinerait s’il le pouvait

dans un miroir inversé.

Une écrivaine part sur les traces de sa tante, morte tragiquement des décennies plus tôt. Avec cette femme au destin singulier qui n’a laissé que peu d’écrits, elle amorce une conversation impossible sur l’art, la folie, l’exil, la pensée et la mort, tout en faisant résonner un faisceau de correspondances poétiques.

Élise Turcotte dessine une généalogie de la tristesse et de la création, et pose son regard sur celles qui nous ont précédés, sur ce qu’elles nous apprennent sur nous-mêmes et ce qu’elles nous permettent d’imaginer. Parce que toutes les histoires, même les vraies, sont des fictions.


  • « Une “ cathédrale de questions ” — sur la folie, la honte, le concept de muse et la création artistique — qui se double, dans Autoportrait d’une autre, à de nombreux questionnements éthiques, intimes et littéraires. Peut-on parler de quelqu’un qui a existé ? Est-il décent de parler de soi ? Et quelle forme donner à cette fausse enquête ?. » Le Devoir
  • « Sous sa plume habile, même les espaces vacants et les silences prennent eux aussi vie, entre les fragments d’histoire. » Le Soleil
  • « Autoportrait d’une autre, un livre à la forme délicieusement libre […] qui ne répond qu’à ses propres exigences. » La Presse