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L’homme qui savait la langue des serpents

Le Tripode

Voici l’histoire du dernier des hommes qui parlaient la langue des serpents, de sa sœur qui tomba amoureuse d’un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, de son oncle qu’il aimait tant, d’une jeune fille qui croyait en l’amour, d’un sage qui ne l’était pas tant que ça, d’une paysanne qui rêvait d’un loup-garou, d’un vieil homme qui pourchassait les vents, d’une salamandre qui volait dans les airs, d’australopithèques qui élevaient des poux géants, d’un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons un peu horrifiés par tout ce qui précède. Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d’un souffle inspiré des sagas islandaises, L’homme qui savait la langue des serpents révèle l’humour et l’imagination délirante d’Andrus Kivirhk. Le roman, qui connaît un immense succès en Estonie depuis sa parution en 2007, retrace dans une époque médiévale réinventée la vie d’un homme qui, habitant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l’emporter. Une fable ? Oui, mais aussi, comme le souligne dans une postface bien renseignée le traducteur, un regard acéré sur notre époque.

L'homme qui savait la langue des serpents

L’homme qui savait la langue des serpents

Le Tripode - 2012

Voici l’histoire du dernier des hommes qui parlaient la langue des serpents, de sa sœur qui tomba amoureuse d’un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, de son oncle qu’il aimait tant, d’une jeune fille qui croyait en l’amour, d’un sage qui ne l’était pas tant que ça, d’une paysanne qui rêvait d’un loup-garou, d’un vieil homme qui pourchassait les vents, d’une salamandre qui volait dans les airs, d’australopithèques qui élevaient des poux géants, d’un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons un peu horrifiés par tout ce qui précède. Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d’un souffle inspiré des sagas islandaises, L’homme qui savait la langue des serpents révèle l’humour et l’imagination délirante d’Andrus Kivirhk. Le roman, qui connaît un immense succès en Estonie depuis sa parution en 2007, retrace dans une époque médiévale réinventée la vie d’un homme qui, habitant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l’emporter. Une fable ? Oui, mais aussi, comme le souligne dans une postface bien renseignée le traducteur, un regard acéré sur notre époque.

Dans la forêt des contes

Grands débats en vidéo
Saint-Malo 2014

Avec Andrus Kivirähk, Pierre Dubois, Victor Dixen, Nii Ayikwei Parkes, Michel Le Bris
Animé par Jean-Luc Rivera

Histoires de « bonnes femmes », ramassis de vieilleries, superstitions toujours juste bonnes à collecter, témoins d’un autre temps ? Ou bien coffre aux merveilles, au carrefour magique des mémoires du monde ? Les romantiques allemands, les premiers, les pensèrent comme l’expression première du continent des rêves, porte, voie d’accès à un secret de l’humanité, au carrefour magique des mémoires du monde. « Les contes », rappelle Michel Le Bris, « n’éclairent jamais qu’en projetant de l’ombre... ». Avec Pierre Dubois, elficologue, Victor Dixen, créature de la nuit, Andrus Kivirähk, l’estonien venu avec ses trolls et ses légendes, Michel Le Bris, spécialiste du romantisme et co-auteur, avec Claudine Glot, de Elfes, fées et dragons (Hoëbeke), Nii Ayikwei Parkes, dont l’imaginaire du contre africain envahit l’écriture.

Le retour des barbares ?

Saint-Malo 2014

Avec Raphaël Jerusalmy, Andrus Kivirähk, François Taillandier et Régis Goddyn.

Il manque, dans ce débat, l’introduction de l’animateur et des intervenants. Celle-ci n’a pas été enregistrée. Nous nous en excusons.