A la fin du XXIe siècle, dans une grande ville de province, une jeune femme et son compagnon viennent malgré les crises à répétition, de donner naissance à un enfant. Un jour, le réseau électrique français s’effondre et une émeute plus violente que les autres éclate. Le jeune père ne rentre pas chez lui. Pour sa compagne, l’angoisse va grandissant.
Trois générations plus tard, dans un monde où toute technologie avancée a disparu, un petit groupe de gens a trouvé un abri de fortune dans une maison campagnarde qui a échappé à la destruction. Pas pour longtemps. Des pillards vont bientôt l’incendier et les survivants vont devoir fuir sur les routes avec leur carriole et leur cheval. Commence une épopée proche du western, où chaque jour l’enjeu est de survivre…
- « Ce roman imprégné de violence se révèle également, contre toute attente, empreint de sagesse, et même d’optimisme. Chez Hervé Le Corre, l’utopie n’est jamais loin. Ici, elle prend les traits de la communauté libertaire, égalitaire, sans hiérarchie et sans règles sur laquelle se clôt le livre. Un endroit qui peut nous faire croire, encore, que l’humanisme n’est pas mort. Au fond, et malgré tout, Hervé Le Corre en est persuadé : un autre « monde d’après » est toujours possible. » Le Monde
- « II faut bien du talent, et sans doute beaucoup de travail, pour produire avec de telles données un roman équilibré, sans mièvrerie ni complaisance pour la noirceur. Hervé Le Corre va bien au-delà :avec son goût du réalisme et son
absence de cynisme, ses personnages si proches et si crédibles, sa poésie maîtrisée, Qui après nous vivrez est pour nous l’un des meilleurs romans postapocalyptiques jamais écrits, toutes langues confondues. » Lire Magazine Littéraire
- « « Mon livre, c’est demain. Et demain, c’est noir. Mais après-demain,il y a de l’espoir. Il faut toumer les pages... » Dans un monde au bord des ténèbres, Hervé Le Corre taille à la serpe un chemin vers la lumière. » Le Point