" Mon père, on va bientôt vous demander de bénir le corps d’une femme à l’asile.
— Et alors, qu’y-a-t-il d’extraordinaire à cela ? demandai-je.
— Sous sa robe, c’est là que je les ai cachés.
— De quoi parlez-vous ?
— Les cahiers… Ceux de Rose."
Ainsi sortent de l’ombre les cahiers de Rose, ceux dans lesquels elle a raconté son histoire, cherchant à briser le secret dont on voulait couvrir son destin. Franck Bouysse, lauréat de plus de dix prix littéraires, nous offre avec Né d’aucune femme la plus vibrante de ses oeuvres. Ce roman sensible et poignant confirme son immense talent à conter les failles et les grandeurs de l’âme humaine.
- « Absolument formidable ! Prenez Lumière d’août de Faulkner et My Absolute Darling de Gabriel Tallent, ajoutez-y la beauté incandescente de la langue et le poids de l’histoire et des tabous, vous avez l’un des chocs littéraires de cette rentrée. Lisez ce livre, amis, vous serez secoués ! » François Busnel, La Grande Librairie
- « Imaginez que dans la foule des romans publiés en ce début d’année, il en est un qui tutoie la perfection. (...) À la fois classique et fantasmagorique, Né d’aucune femme prouve que le romanesque peut encore éblouir. » Claro, Le Monde des Livres
- « Un conte philosophique nécessaire, indispensable dans l’époque dans laquelle nous vivons. » Rita des Rosiers, Un livre, un jour (France 3)